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La première dépense publique de l’Etat sont les intérêts de la dette, ensuite vient l’éducation nationale et enfin l’armée.

Les finances publiques ne concernent pas que l’Etat, aujourd’hui les dépenses les plus importantes sont les dépenses sociales notamment celles de la sécurité sociale.

L’Etat dépense 380 milliards d’euros par an, les dépenses sociales représentent 600 milliards d’euros, les dépenses des collectivités locales représentent 200/230 milliards d’euros mais celles ci ne cessent d’augmenter car un transfert important des compétences de l’Etat vers les collectivités locales se met de plus en plus en place.

Les dépenses publiques, c'est-à-dire Etat + dépenses sociales + collectivités locales, représentent 1 000 milliards d’euros, c'est-à-dire la moitié de notre richesse.

Il y a 3 types de pays dans le monde au niveau des dépenses publiques : ceux qui dépensent moins de 30% du PIB qui sont les pays anglo-saxons, puis les pays occidentaux qui dépensent 50% du PIB (Espagne, France) et enfin les pays scandinaves (Norvège, Finlande) qui dépensent 60%/70% du PIB

si on diminue les coûts de production on augmente les disponibilités de ventes (les entreprises sont plus disposées à mettre des produits sur le marché, augmentation des profits, investissements et emploi augmente).

Coûts du capital = taux d'intérêts.

Coût du travail = salaires + avantages salariaux + cotisations sociales.

Politiques de réduction des coûts se sont concentrées sur le coût du travail.

(slides 86-87-89) rationnement de la demande, utilité ou non de la politique keynésienne

-> on baisse les impôts – augmentation du revenu disponible – augmentation de la consommation et de l'épargne et donc augmentation de l'investissement – revenu nationale augmente et donc recettes fiscales augmente.

-> diminution de l'impôt sur la société – bénéfice non distribué augmente ce qui induit que les investissements vont augmenter et donc le revenu national aussi.

Jusqu'à un certain niveau d'imposition, tout accroissement du taux va apporter des recettes fiscales supplémentaires.

L'accroissement des recettes est de plus en plus faible par rapport à la hausse de l'imposition, quand on arrive proche du point d'équilibre, l'accroissement est très faible.

Une fois le point d'équilibre dépassé les réductions fiscales seront réduites.

Il y a un taux optimal de taxation qui une fois dépassé, les recettes fiscales diminuent.

L'élasticité des recettes fiscales diminuent car les comportements des ménages changent selon l'augmentation des impôts.

(slides 82) recettes fiscales est ce que rapporte taux d'imposition.

diminution de la "pression" fiscale pour relancer la croissance.

distribution du revenu et des gains de productivité.

mécanismes économiques (offre)

fin 60 : baisse de rentabilité, essoufflement du rapport salarial fordiste (partage des gains, consommation de masse…).

Hausse du chômage et maintien des taux de chômage  Hystérésis.

Inflation et faible croissance-> stagflation.

Politique des la demande vers politique de l'offre Politiques macroéconomiques vers politiques microéconomiques.

Politiques monétaires expansives vers politique monétariste restrictive en Europe pour contenir l'inflation.

si cycles classiques : politique keynésienne

si situation de dépression : problèmes des contraintes traditionnelles

si déséquilibre structurels : politique keynésienne + mesures ciblées.