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Rémunération des facteurs de production

Rémunérations des salariés, revenus mixtes nets, excédents net d'exploitation. A = amortissements, ENE = excédent net d'exploitation, EBE = excédent brut d'exploitation, Y (n)k,L = revenus mixtes (nets).

-> PIBPM = PINCF + A + (Ti – Subv) = YL + ENE + YnK,L + A + (Ti – Subv) = YL + EBE + YK,L + (Ti - Subv)

Rémunérations est de loin le poste le plus important du PIB. Revenu disponible se réparti d'une part dans la consommation et d'autre par dans l'épargne.

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Relation entre net et brut : les amortissements

PIB – amortissements = PIN (produit intérieur net). Les taxes et les subventions donnent la différence entre le PIN et le prix du marché.

Amortissements = remplacement de l'appareil productif usé dans le processus de production

PINPM = PINCF - (Ti – Subv)

PIB = rémunérations des salariés + excédent d'exploitation et revenu mixtes bruts + (Ti-S) la production et les importations.

PIN prend en compte la rémunération des salariés, les revenus mixtes nets et les excédents nets d'exploitation.

RNB = PIB + Y primaires à recevoir du RM – Y primaires à payer au RM = PNBpm Y = transferts et RM = reste du monde.

RNN = RNB – consommation de Capital fixe Revenu national disponible Brut = RNB + transferts courants à recevoir de RM – t.c. à payer au RM.

Epargne brute = RNB – dépenses de consommation finale.

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Les indicateurs conjoncturels

permettent de prévoir les fluctuations du PIB, enquête mensuelle de conjoncture de la Banque nationale (donne leurs prévisions) auprès des entreprises manufacturières, caractère très pro-cyclique.

Fluctuations conjoncturelles dépendent aussi de la conjoncture internationale (Belgique hypersensible parce que notre économie est très ouverte et la production industrielle comprend beaucoup de produits semifinis).

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Sensibilité sectorielle à la conjoncture économique

Taux de croissance économique = taux de croissance du PIB en termes réels (à prix constant, en volume).

Le taux de croissance fluctue à cause de cycles conjoncturels (= succession de périodes de croissance forte ou faible), 4 moments du cycle = Creux (récession quand taux de croissance du PIB est négatif ou dépression taux de croissance faible), reprise, pic (croissance forte), ralentissement / récession (décroissance).

Tous les secteurs ne sont pas touchés de la même façon lors d'une récession ou lors d'un pic.

Industries manufacturières, constructions, services marchandes sont des secteurs procyclique (suivent le cycle).

Agriculture est un secteur a-cyclique (pas de loin direct avec la conjoncture). Services non-marchands sont des secteurs contracyclique (santé, justice).

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Modification de la structure de production

Décroissance du primaire (secteur agricole, industries extrselecteds –concurrence et subvention) Croissance du secondaire phase d'expansion industrielle (industrie lourde), phase de restructuration – perte d'importance de certains secteurs (acier, verre, légère).

Développement du tertiaire (services et bien publics, biens collectifs, nouveaux services), gonflement des services rendus aux entreprises, tertiarisation du secondaire (externalisation, sous-traitance), secondarisation du tertiaire (investissements, organisation du travail)).

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