Sélection de la parentèle
- Publié dans Biologie
Mécanisme de sélection basé sur la possession de gènes communs amenant un individu à favoriser un apparenté en matière de survie ou de reproduction.
Mécanisme de sélection basé sur la possession de gènes communs amenant un individu à favoriser un apparenté en matière de survie ou de reproduction.
S’observe lorsqu’il existe des différences entre les individus en ce qui concerne leur capacité à rivaliser pour se reproduire (compétition sexuelle) ou leur attractivité pour les membres du sexe opposé (choix du partenaire sexuel).
Quand ces différences sont associées à des différences génétiques, la sélection sexuelle entraîne des changements de la fréquence des gènes dans la population.
À la sécheresse, au froid, à la prédation (mimétisme, camouflage [ex : phalène du bouleau]).
Ex : Achondroplasie. Chez les femmes, malformations du bassin entraînant un risque de mortalité périnatale très élevé.
Force sélective exercée sur l’achondroplase (5x moins d’enfants que les normaux) mesurable par le coefficient de sélection.
Si A = Gène dominant normal et a = gène récessif normal : 0,2 : Nombre moyen d’enfants qui atteindront l’âge de la reproduction = fitness (W) Coefficient de sélection = S = 1 – W (0,8 dans le cas présent). Il peut varier de 0 (pas d’effet sélectif sur le caractère considéré) à 1 (effet sélectif maximal : aucune descendance pour les porteurs). C’est un paramètre variant en fonction du milieu.
Si les conditions changent (ici, futures mères achondroplases pourront faire une césarienne), le coefficient va diminuer. Entraîne une biodiversité des formes.
Pour analyser les clones du dessus : Prise d’une empreinte de la boîte à l’aide d’un tampon de velours et transplantation sur une nouvelle boite contenant le milieu adéquat.
Si l’on part d’1ml d’excréments contenant 109 bactéries. Dilution 1 : 1ml dans 1L -> 106 bactéries/ml Dilution 2 : 1ml dans 1L -> 103 bactéries/ml
Dilution 3 : 1ml dans 100 ml -> 10 bactéries/ml Étalement sur une boîte de Pétri avec de la gélose : Colonies de clones. Permet de compter le nombre de bactéries dans un milieu de culture.
Ajout d’un gel macromoléculaire (souvent gélose ou agar agar) non dégradable par les bactéries. Bactéries immobiles : Établissement de colonies bactériennes.
Destinés à faire de la culture en masse (masse de bactéries élevée : Analyse biochimique aisément faisable).
Destinés à tester la sensibilité d’une souche bactérienne à un facteur donné (ajout d’une substance) ou sa capacité à synthétiser un élément essentiel (soustraction d’une substance)
Constituants du milieu simple + Acides aminés et bases azotées diverses. Les bactéries ayant subies des mutations défavorables y survivent.