Croisement de deux homozygotes (a+ dominant, a récessif)
-> Première Loi de Mendel ou Loi d’uniformité des hybrides de première génération : « Quand on croise deux individus qui diffèrent par un caractère, tous les produits de première génération sont tous identiques entre-eux et (éventuellement) différents des parents »
Méthode de la génétique mendélienne : Reproduire deux parents (P) différant d’un ou de plusieurs caractères phénotypiques et étudier leur répartition dans la descendance -> Hypothèses sur la constitution génotypique des parents -> Calcul des fréquences génotypiques dans les gamètes f(gP) des parents -> Calcul des fréquences génotypiques et phénotypiques réalisables sur la première génération d’enfants (F1)
Définitions
- Gène : Unité d’hérédité contrôlant un caractère particulier
- Allèle : Variant d’un gène particulier
- Locus : Lieu précis du code contrôlant un caractère
- Homologue : Deux gènes ayant la même fonction chez deux espèces différentes
- Homozygote/Hétérozygote : 2 allèles identiques/2 allèles différents
- Génotype/Phénotype : Ce qui compose les gènes/Ce qui est observable
- Dominance/Récessivité : Un des deux allèles prend le pas sur l’autre. Cela ne veut
pas dire que l’autre ne s’exprime pas ! Son expression n’est pas visible
- Codominance : Deux allèles marquent leur emprunte dans le phénotype (ex : Fleur
blanche + Fleur rouge = Fleur rose)
Génétique des eucaryotes : Étude des modes de transmission des caractères héréditaires des parents à leur progéniture. Fondée sur les travaux de Gregor Mendel. 3 raisons expliquant qu’il ait découvert les lois de l’hérédité :
1) Travail sur de grands nombres : Minimise les erreurs d’échantillonnage
2) Commença par étudier la transmission d’un seul trait au travers des générations
3) Travail sur le petit pois : Matériel génétique favorable. Traits observables facilement (caractères monofactoriels) et autopollinisation possible (permet les lignées pures)
Redécouverte de ses lois au 20ème siècle (à son époque : Incompréhension)
Avant Mendel, hypothèse : Grossesse = Mise en branle d’un individu préformé. Deux clans : Spermistes (individu dans le spermatozoïde) et ovistes (individu dans l’ovule).
Ex :
Mécanisme de sélection basé sur la possession de gènes communs amenant un individu à
favoriser un apparenté en matière de survie ou de reproduction.
S’observe lorsqu’il existe des différences entre les individus en ce qui concerne leur capacité à rivaliser pour se reproduire (compétition sexuelle) ou leur attractivité pour les membres du sexe opposé (choix du partenaire sexuel). Quand ces différences sont associées à des différences génétiques, la sélection sexuelle entraîne des changements de la fréquence des gènes dans la population.
À la sécheresse, au froid, à la prédation (mimétisme, camouflage [ex : phalène du bouleau]).
Ex : Achondroplasie. Chez les femmes, malformations du bassin entraînant un risque de mortalité périnatale très élevé. Force sélective exercée sur l’achondroplase (5x moins d’enfants que les normaux) mesurable par le coefficient de sélection.
-> Coefficient de sélection = S = 1 – W (0,8 dans le cas présent). Il peut varier de 0 (pas d’effet sélectif sur le caractère considéré) à 1 (effet sélectif maximal : aucune descendance pour les porteurs).
C’est un paramètre variant en fonction du milieu. Si les conditions changent (ici, futures mères achondroplases pourront faire une césarienne), le coefficient va diminuer. Entraîne une biodiversité des formes.
Technique des dilutions : Si l’on part d’1ml d’excréments contenant 109 bactéries.
Dilution 1 : 1ml dans 1L -> 106 bactéries/ml
Dilution 2 : 1ml dans 1L -> 103 bactéries/ml
Dilution 3 : 1ml dans 100 ml -> 10 bactéries/ml
Étalement sur une boîte de Pétri avec de la gélose : Colonies de clones. Permet de compter le nombre de bactéries dans un milieu de culture.
Technique des tampons de velours
Pour analyser les clones du dessus : Prise d’une empreinte de la boîte à l’aide d’un tampon de velours et transplantation sur une nouvelle boite contenant le milieu adéquat.
