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Taux de pauvreté

Soit pauvreté absolue p/r à un plafond.

Soit pauvreté relative en fonction de la position de l'individu dans la distribution des revenus.

Taux de pauvreté absolue : calculé p/r un niveau de revenu jugé acceptable sans référence à la distribution générale des revenus

Taux de pauvreté relatif (beaucoup plus souvent utilisé) : pourcentage de la population ayant un revenu inférieur à 60% du revenu médian (chiffre qui coupe la population en 2, moins sensible aux valeurs extrêmes que la moyenne).

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Courbe de Loren et coefficient de GINI

voir slide 32 dans cours du 03 mars Indique dans quelle mesure la répartition du revenu entre les individus ou les ménages d'un pays s'écarte de l'égalité parfaite.

On classe la population par niveau de revenu (ceux qui gagnent le moins à gauche et ceux qui gagnent le plus à droite), on regarde qu'elle est l'importance de leur rémunération p/r au PIB.

Si toute la population avait exactement le même salaire, on se trouverait sur la ligne droite à 45°, plus l'écart entre les salaires est important plus la courbe sera forte.

Si Indice = 0 alors distribution parfaitement égalitaire, l'indice varie entre 0 et 1.

GINI = 1 – 2 x (superficie AXCB) ABC inégalité totale =1, ensemble des revenus est concentré dans les mains d'un seul individu.

On remarque que plus le PIB d'un pays est faible, plus les inégalités sont fortes (voir slide 37 dans cours du 3 mars).

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Relation entre objectifs

a) Le carré magique

Ce carré est constitué des quatre côtés suivants :
- Emplois
- Prix
- Croissance
- BOC

Obtenir un résultat « magique » revient à réaliser en même temps
- Le plein emploi
- La stabilité des prix
- Une forte croissance du PNB
- L’équilibre de la BOC

Les trois premiers forment l’équilibre interne, le dernier l’équilibre externe. Cependant, il y a des
interrelations constantes entre les deux équilibres.

(Trop la flemme de faire les 10 dernières pages )

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La croissance économique

a) Définition

Pour quantifier la croissance, on considère la croissance du PNB ou du PIB à prix constants, ou les « biens-matériel » des ménages soit le PNB/hab.

b) Croissance et finalité de l’économie

1. Croissance et bien-être

De plus en plus, on se rend compte de la nécessité de prendre en considération les aspects qualitatifs. Il est faux de croire que croissance et écologie sont contradictoires. Il faut adapter la croissance aux contraintes écologiques. Cela représente un coût qu’il faut payer si on veut lier la croissance au bien –être.

2. Croissance et équité

L’équité implique une meilleure répartition du revenu national. En croissance, on peut y parvenir sans que personne n’y perde mais quand le « gâteau » social reste stable, plus d’équité implique que certains perdent en termes absolus, ce qui est difficile à réaliser.

Ex : Brésil et pays de l’OCDE

3. Politique de croissance et contraintes

Graph 111 : outre les moteurs structurels de la croissance, on parle de relance quand la politique économique conjoncturelle « tire » l’économie vers le haut.

La relance doit tenir compte de trois contraintes qui se présentent différemment selon les pays (ici- USA, Japon, Zone euro and Belgium):

- Contrainte extérieur :

Quand X > M, il n’y a pas de gros problème. En revanche quand la BOC est déficitaire, la relance est périlleuse car tout accroissement de Y engendre une augmentation des importations M qui peut mettre l’équilibre en péril.

Pour chaque pays, le poids de la contrainte extérieure dépend de l’ampleur de ses liens avec le RM. Pour connaître l’incidence de l’accroissement de chaque poste de la demande finale sur les

M, il faut prendre en compte :

La croissance de biens et services de consommation (Cm) par rapport à la croissance de la consommation privée (C).

La croissance des biens de capital fixe importé (Im) par rapport à la croissance des investissements (I)

La croissance des biens importés (Xm) par rapport à la croissance des exportations (X) En Belgique, ces trois ratios sont extrêmement élevés, ce qui rend une politique de relance compliquée.

- Contraintes prix :

Si le taux d’inflation est bas et si le différentiel d’inflation est à l’avantage du pays, une relance ne présente pas trop de risques, car une relance s’accompagne souvent de tensions inflationnistes qui se répercutent sur les prix à l’exportation. Une augmentation des prix et une augmentation des prix à l’X en particuliers, sont supportables si X>M. la contraintes « prix » est liée à la contrainte extérieur.

- Contraintes budgétaire :

Une relance qui tablerait sur des dépenses publiques supplémentaire se heurterait frontalement à la contrainte budgétaire. Faute de pouvoir augmenter les recettes, on est condamné à recourir à l’endettement public interne et souvent externe. Certes, la croissance économique une fois réamorcée devrait, à elle seule, bénéficier aux recettes de l’Etat, mais ce processus risque d’être freiner par l’endettement qui oblige l’Etat à maintenir des taux d’intérêt alléchants et donc élevés.

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