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La vulgarisation des connaissances

On assiste à la vulgarisation des connaissances notamment grâce à la presse spécialisée par exemple scientifique. En 1662 sont fondés les Bulletins de l’Académie anglaise. En France, il y a le journal des savants.

Les cabinets de curiosités se multiplient où beaucoup de souverains et d’aristocrates entretiennent des savants pour présenter des expériences.

Les plus grands esprits du 18e siècle, ce siècle de la curiosité, témoignent du plus vif intérêt pour toutes les questions scientifiques : c’est Voltaire qui, vers 1735, fait connaître en France les travaux de Newton ; Diderot se passionne pour la physiologie et la chimie, Rousseau pour la botanique, Goethe pour la minéralogie et la zoologie.

Il y a également l’Encyclopédie de Diderot qu’on peut compter parmi les ouvrages de vulgarisation des sciences.

En 1650 (édition française qui est la principale à l’époque), 7% des ouvrages publiés sont science et technique. En 1720, 20%. En 1780, 33%.

Cette statistique montre la progression énorme du nombre d’ouvrage relatif aux sciences et techniques. Pendant que l’intérêt pour ces livres augmente énormément, l’intérêt pour la théologie baisse.

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