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Le patriotisme et la colère

On observe un sentiment national exacerbé et une réelle volonté de résistance (les volontaires sont nombreux dans les centres de recrutement). De plus, toutes les forces politiques sont unies derrières le roi pour rejeter la demande allemande (les conflits traditionnels sont ainsi mis de côté). Ce patriotisme est doublé par un sentiment de colère : l’Allemagne était restée jusque là un véritable modèle du XXème s., elle faisait figure de grande puissance militaire et intellectuelle en laquelle la Belgique avait confiance -> la Belgique ne comprend pas que ce pays tant admiré puisse l’attaquer, d’autant plus que l’Allemagne est garant de la neutralité belge (= lui porter assistance en cas d’invasion).

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