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La Saint-Barthélémy et ses conséquences

– Le 18 août 1572 eût lieu le mariage entre Marguerite et Henri de Navarre.

– Cet événement regroupa un bon nombre de protestants venus fêter à Paris. – Le Duc de Guise et ses troupes en profita pour massacrer tous les protestants la nuit du 23 au 24 août, jour de la Saint-Barthélémy.

– Le massacre s'étendit à la province au 20 000 protestants périrent. => La guerre civile est alors inévitable. Henri III trucide les Guises en 1588 et se fait assassiner en 1589.

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Catherine de Médicis et Coligny recherchent le compromis

– De 1560 à 1572, Catherine de Médicis, conseillée par L'Hospital et l'amiral Gaspard de Coligny ( protestant modéré), tente d'éviter la guerre civile.

– Les extrémistes catholiques, menés par le Duc de Guise, s'opposent farouchement à la reconnaissance de la Réforme. – Or, Catherine de Médicis autorise le culte protestant réformé hors des villes par un édit en 1562.

– 1571 les protestants obtiennent 4 villes fortifiées dans le sud de la France pour exercer leur culte et se protéger. – De 1560 à 1589, les trois fils d'Henri II et de Catherine de Médicis se succèdent sur le trône ( Charles 9, François II et Henri III). Celle-ci reste très influente.

– Elle organise en 1572 le mariage de sa fille Marguerite de Valois (Reine Margot) avec Henri de Navarre ( Henri IV). – Ce dernier est un bourbon et chef du parti protestant.

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Les « Politiques » français

– Dans la seconde moitié du 16ème, il y a trois confessions chrétiennes rivales en Europe. – Ca amène un certain relativisme quant à l'idée de vérité absolue.

– Le relativisme est la condition de la mise en place de la laïcité moderne. – Érasme est partisan de la tolérance pour éviter la guerre.

– Sébastien de Castellion, calviniste tolérant, considère que l'on a pas le droit de forcer les consciences puisqu'il n'y a pas de certitudes en matière de foi. – Montaigne et Bodin pensent la même chose.

– L’Église ne peut accepter la chose car relativiser le religieux ne peut que minimiser son poids politique !

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Les premiers défenseurs de la tolérance

– Dans la seconde moitié du 16ème, il y a trois confessions chrétiennes rivales en Europe. – Ca amène un certain relativisme quant à l'idée de vérité absolue.

– Le relativisme est la condition de la mise en place de la laïcité moderne. – Érasme est partisan de la tolérance pour éviter la guerre.

– Sébastien de Castellion, calviniste tolérant, considère que l'on a pas le droit de forcer les consciences puisqu'il n'y a pas de certitudes en matière de foi. – Montaigne et Bodin pensent la même chose.

– L’Église ne peut accepter la chose car relativiser le religieux ne peut que minimiser son poids politique !

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Le jansénisme

– En 1608, Angélique Arnaud réforme l'abbaye de Port-Royal-des-Champs orientation dévote. – Elle rencontre l'abbé Saint-Cyran, élève de Jansénius.

– La réforme d'Angélique Arnaud et de Saint-Cyran s'étend à Port-Royal en 1625, ce qui inquiète Richelieu qui fait arrêter Saint-Cyran en 38. – Est édité en 1640 l'Augustinus manifeste des jansénistes.

– L'ouvrage dit que :

– Les Humanistes sont critiqués pour leur admiration de l'Antiquité païenne. – L’orgueil des hommes face à Dieu l'est également.

– L'homme est mauvais par nature suite au péché originel.

– La grâce divine est nécessaire au salut. – Dès 1630, il y aura un conflit entre autorités politiques et religieuses et Jansénistes.

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