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Étude expérimentale des équilibres de population [vg] et [vg+] chez la drosophile

Dispositif permettant d’obtenir des milliers de drosophiles : Grandes cages percées d’une série de 21 alvéoles dans lesquelles on peut introduire des godets de nourriture.

Chaque jour, un godet de nourriture fraîche remplace un godet vieux de trois semaines dans lequel, les oeufs pondus ont eu le temps de se développer et de donner des adultes. On peut suivre

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Exemples -

· Phalènes de bouleau, sélection directionnelle

· Pêche du cabillaud : Seuls les adultes génétiquement nains peuvent passer entre les mailles des filets. Sélection non-voulue et directionnelle

· Paons : Celui ayant la plus belle queue est choisi par la femelle : Sélection sexuelle

· Cochons : Normalement, la majorité de son poids se trouve à l’arrière.

Les éleveurs ont sélectionné ceux pour qui le poids se situait plus à l’arrière. Sélection amenant un changement de physiologie de l’animal.

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Cas valables pour accouplements choisis

(sélection sexuelle = sélection naturelle) :

· Femelles préfèrent AA : Sélection directionnelle vers ce génotype

· Femelles préfèrent homozygotes aux hétérozygotes : Sélection diversifiante

· Femelles préfèrent hétérozygotes aux homozygotes : Sélection stabilisante.

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Sélection directionnelle, stabilisante ou diversifiante et polygénisme

Caractères polygéniques : En variation continue (poids, taille, couleur de peau, …). · La sélection directionnelle favorise les phénotypes d’un extrême par rapport aux autres. Ex : Graines moyennes, grosses et petites. Oiseaux ont tendance à manger les plus grosses : Sélection directionnelle en faveur des petites graines

· La sélection stabilisante favorise les phénotypes intermédiaires.

Ex : Graines moyennes ont plus de chance de germer et croître que les graines grandes ou petites : Sélection stabilisante.

· La sélection diversifiante favorise les phénotypes extrêmes par rapport aux intermédiaires. Ex : Oiseau ne mange que les graines moyennes au détriment des grosses et des petites.

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Conséquences génétiques de la sélection

Pour une seule paire d’allèles concernée, si la possession de l’un de ces allèles confère un léger avantage reproduction, sa fréquence dans la population augmentera d’une génération à l’autre au dépens de l’allèle moins favorisé : Force évolutive la plus importante et puissante par son caractère inéluctable.  Affectation d’un coefficient de correction à tous les termes de la loi d’équilibre pour l’utilise dans le cas de la sélection.

p² + q² + 2pq = 1 devient S1p² + S22pq + S3q² (rappel : S = Coefficient de sélection = 1-W [W = Rapport entre le nombre de descendants de l’organisme considéré et le nombre moyen de descendants des membres de la population]).

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Il y a sélection Introduction

N’a pas de signification au niveau de l’individu, obligation de prendre la population dans son ensemble.

Absence de sélection pratiquement jamais rencontrée : Elle opère dès que les chances de reproduction des différents phénotypes sont inégales.

Or dans toutes les populations nous avons un éventail de phénotypes, certains présentant de meilleures chances de survie (face à la prédation, la reproduction, …) : Augmentation de la fréquence des allèles des phénotypes favorisés.

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Il y a mutation

En l’absence de mutation, les allèles restent les mêmes au fil des générations.

Elles changent les 3 termes de la loi d’équilibre (apparition ou disparition d’un allèle).Elles sont inéluctables, sources de variabilité génétique dans les populations mais ont peu d’impact sur le modèle d’Hardy-Weinberg seules (la fréquence des mutations pour un locus donné étant généralement très petite).

Ex : Si à chaque génération, une fraction de gènes disparaît par mutation, il faudrait environ 4 millions de générations pour que ce gène disparaisse complètement.

Les mutations sont donc indispensables pour faire émerger de nouveaux gènes et allèles, pouvant être bons ou mauvais et triés par la sélection naturelle.

La sélection naturelle accélère grandement la fréquence des gènes « bons » et la disparition des gènes « mauvais ».

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Au niveau des populations

Au niveau des populations : Dans la Loi d’Hardy-Weinberg nous avons 2 termes d’homozygotes (p² et q²) et un terme d’hétérozygotes (2pq).

Si on augmente le pourcentage des homozygotes récessifs (q²), ça sera au détriment de celui des hétérozygotes (2pq), qui descendra.

En d’autres termes : P²AA devient p² + Fpq 2pqAA devient 2pq – 2pqF q²BB devient q² + Fqp  La consanguinité change les fréquences des phénotypes et génotypes mais pas la fréquence des gènes

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Au niveau des individus

Si un gène est fréquent, le mariage consanguin ne modifie pas la probabilité d’être hétérozygote.

Plus ce gène est rare, plus le mariage augmente le risque d’homozygotie.

Problématique dans le cas des maladies dues à un gène récessif, mais avantageux s’il s’agit d’un « bon gène » (les éleveurs contractent des mariages consanguins pour conserver les gènes avantageux).

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