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Gènes transmis linéairement, peu d’échanges entre lignées. Dans une population sexuée : Conjugaisons et méioses font que les gènes sont communs à toute la population.

Demande de tenir compte de 3 facteurs n’intervenant pas en génétique mendélienne :

1) Polymorphisme = Variabilité génétique, donc à la base de l’évolution

2) Temps car variabilité génétique (méioses) visible qu’après plusieurs générations

3) Sélection -> Facteurs génétiques : Peuvent modifier la fréquence des gènes d’une population.

Exercent une pression sélective sur le pool génique. Se produit chaque fois que des individus de phénotype différents n’ont pas les mêmes chances de survie/reproduction.

Un des mécanismes déterminants de l’évolution

Population partageant le même pool génique.

Eucaryotes plus complexes -> Temps de génération plus long -> Moins de populations.

Dans ces conditions, variabilité génétique de la sexualité donne un avantage sélectif majeur (explique pourquoi c’est la seule forme de reproduction des animaux/végétaux les plus développés), amplifié par la diploïdie (2 allèles = 3 génotypes + Allèles récessifs nonexprimés mais conservés au fil des générations).

Ensemble de tous les gènes (donc tous les allèles) d’une population

Organismes d’une espèce occupant une région à un moment donné. Constitue une communauté de reproduction où les gènes demeurent au travers des générations.

= Ensemble des descendants d’une bactérie, tous étant génétiquement semblables. Si l’un d’entre-eux mute et que sa descendance survit : Clone nouveau.

Fréquence avec laquelle un allèle se retrouve dans une population.

Modification de fréquence à la base de l’évolution et causée par : Catastrophes radiatives (bombe atomique) multipliant les fréquences, soins médicaux (malades atteignent l’âge de reproduction et transmettent les gènes néfastes), migrations, …

Étude de la distribution des allèles au sein d’une population et analyse des facteurs la modifiant.

Faire produire par une espèce une substance intéressante qu’elle ne sécrèterait pas naturellement.

1) Insertion d’un gène dans des plants de tabac : Résistance aux herbicides et en bonus vigueur accentuée

2) Insertion d’un gène dans les plantes produisant une protéine qui donne des indigestions aux pucerons venant s’y attaquer

3) Amélioration des plantes nourrissant les moutons en un acide aminé particulier accentuant leur production de laine

4) Organisme Génétiquement Modifié (OGM)

But : Améliorer la qualité du produit, la productivité, la résistance aux maladies et pesticides.