NAIRU
- Publié dans Economie
le taux de chômage non inflationniste, en deçà de ce taux de chômage toute relance entraîne une poussée inflationniste
le taux de chômage non inflationniste, en deçà de ce taux de chômage toute relance entraîne une poussée inflationniste
on arrive à un niveau supérieur auquel le marché peut normalement supporter, si on est en plein-emploi, une augmentation de la demande ne peut se traduire que par une augmentation des prix pour arriver à l'équilibre.
Une augmentation de la demande va aussi augmenter les revenus.
Même si on est pas au plein-emploi, une demande supérieure engendrera souvent l'inflation.
- Par la demande = inflation engendrée par le fait que la demande s'accroît, on atteint un sommet où il n'y plus de personnes disponibles, on ne peut donc pas aller plus loin.
La demande a des effets inflationnistes si l'offre est inélastique.
déflation compétitive ne fonctionne pas toujours, des pays peuvent être très compétitifs malgré des niveaux de salaires élevés.
- système théorique étroit.
- La flexibilité des salaires à la baisse est rarement constatée.
- Le salaire est un coût pour l'entreprise et un revenu pour les individus qui forme le revenu national et lui même forme la demande.
F(w). Courbe positive.
C'est la relation entre les quantités de travail offertes et le salaires proposé sur le marché. Des changements de comportements, de valeurs entraînent un accroissement de l'offre.
Malgré une croissance important en Europe, on remarque un taux de chômage élevé.
Différence entre l'offre de travail déclarée (LS) population selected, en âge de travailler et ceux qui désirent travailler et l'offre de travail effective (LS') qui est la fraction de population selected qui a trouvé un emploi, Pour un salaire plus élevé, un nombre de travailleur plus élevé acceptera l'emploi.
Si les salaires diminue, la quantité de travailleurs demandée augmente, car si les coûts salariaux diminuent, les biens produit seront moins cher et s'écouleront plus facilement sur le marché.
Il existe un taux de chômage naturel (chômage volontaire, seul une partie des demandeurs d'emploi accepte de travailler pour un certain salaire) sous lequel il est impossible de descendre, c'est une partie de l'offre qui n'est pas vraiment disponible parce qu'elle ne veut pas accepter un emploi à n'importe quelles conditions.
Il y a rarement des diminutions de salaires, ils ne fluctuent pas tous les jours.
En augmentant la demande macroéconomique, on peut espérer voir les salaires s'ajuster et donc résorber le chômage car on aura besoin de travailleurs pour construire.
de grandes entreprises sont en récession donc elles licencient des personnes qui ont une formation très spécifique au type d'entreprise (sidérurgie, menuiserie, charbon), ce qui rend très difficile pour al personne de retrouver un emploi.
augmentation des heures supplémentaires. Poursuite de la reprise (nouvelles embauches, réduction du chômage, effet d'appel de la maind'oeuvre.
pas d'effet immédiat (on va réduire les heures supplémentaires, chômage économique – rétention de la main-d'oeuvre.
2009-2010 = poursuite du ralentissement, récession (réduction d'effectifs, chômage économique, faillites).
-> Frictionnel : taux de chômage incompressible, mobilité sur le marché du travail, inaptitude, comportements de recherche d'emploi.
-> Conjoncturel : fluctuations PIB autour de sa tendance qui implique une fluctuation de l'emploi et du chômage.
Conséquence de la conjoncture. Economie évolue de manière cyclique.