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taux de croissance des prix, permet le passage de prix/valeurs à quantités/volume.

Pour ce faire, on divise la série de prix que l'on a par la valeur de l'indice des prix.

Il y a une différence entre les valeurs exprimées en nominaux/ courant (salaires exprimés en monnaie) et les valeurs réelles/constantes (salaire divisé par indice).

Ex : salaire nominal en 1971 il était de 1000€ et en 2004 il est de 3000€, le taux de croissance est donc de 200%.

Salaire réel, en 1971 l'indice des prix à la consommation est de 100 et en 2004 il est de 400, pour trouver l'évolution on divise 100 par 400 et on fait x 3000, ce qui donne 750€.

Euro courant et euro constant, constant veut dire que l'on estime que l'euro n'a pas changé de valeur.

Le problème est toujours qu'il y a une multitude de biens et de services de consommation.

La création des indices provient d'une pression sociale pour assurer le maintient du pouvoir d'achat des salariés.

Wauters met au point en 1920 un indice basé sur 56 produits, non pondérés (=qui ont tous le même poids, ne rend pas bien compte de la réalité). En 2004, l'indice sur base sur 507 produits, on prend des produits témoins et on les suit dans plusieurs points de vente.

La pondération des différents produits à aussi évolué, pour calculer ce poids, on se base sur une enquête faite au sein de différents ménages, on fait ensuite une moyenne de la consommation de chaque ménage, qui représentera le poids de chaque chose.

En 2008 on se base sur 518 produits.

On remarque que la consommation est différente selon les tranches d'âge, les revenus, les zones d'habitations, etc…1er quintile de la population = 20% des revenus les plus bas (dépense plus pour se nourrir), on constate donc que si les prix alimentaires augmentent fortement ce n'est pas la classe la plus riche de la population qui sera touchée mais bien la plus pauvre.

-> Toute augmentation de prix d'un produit n'a donc pas les mêmes conséquences d'une tranche de la population à une autre.

(Part de pétrole brut x Indice du pétrole brut) + Part du charbon x indice du prix du charbon) = indice composite. (toujours valeurs prises à une année précises, pour pouvoir comparer).

-> La part d'un produit est le pourcentage que ce produit représente dans l'ensemble de nos importations (ex: pétrole, part du pétrole = pourcentage de pétrole importé dans le total de nos importations énergétiques).

Les indices permettent de comparer différents prix entre eux et en particulier leur évolution, mais aussi des choses qui n'ont rien en commun (ex: poires et pommes).

Ex: d'un graphique qui représente l'évolution des indices de deux choses, lorsque les deux courbes se rencontrent, elles sont à 100. Si l'indice diminue, le prix aussi et inversement. (revoir tableau 3, slide 38).

On remarque que l'évolution du prix de pétrole suit bien celle des prix énergétiques ce qui démontre la place importante du pétrole dans l'ensemble des importations énergétiques.

-> Les indices sont des mesures sans unité, la référence/ année de base est donc indispensable (pas d'indice sans ça). L'indice n'est pas un prix.

(Part de pétrole brut x Indice du pétrole brut) + Part du charbon x indice du prix du charbon) = indice composite. (toujours valeurs prises à une année précises, pour pouvoir comparer).

-> La part d'un produit est le pourcentage que ce produit représente dans l'ensemble de nos importations (ex: pétrole, part du pétrole = pourcentage de pétrole importé dans le total de nos importations énergétiques).

Les indices permettent de comparer différents prix entre eux et en particulier leur évolution, mais aussi des choses qui n'ont rien en commun (ex: poires et pommes).

Ex: d'un graphique qui représente l'évolution des indices de deux choses, lorsque les deux courbes se rencontrent, elles sont à 100. Si l'indice diminue, le prix aussi et inversement. (revoir tableau 3, slide 38).

On remarque que l'évolution du prix de pétrole suit bien celle des prix énergétiques ce qui démontre la place importante du pétrole dans l'ensemble des importations énergétiques.

-> Les indices sont des mesures sans unité, la référence/ année de base est donc indispensable (pas d'indice sans ça). L'indice n'est pas un prix.

indice prix année de base =100 = 100 x Prix t/ Prix année de base.-> Prix t sont des séries de prix.

Les pris sont exprimés en unité monétaire par unité de bien. Pour comparer des prix de différents biens ou services ou autres, on construit des indices de prix en ramenant les différents prix à une base commune, généralement 100/an.

- favorise les exportateurs (leur permet d'augmenter le volume de leur importation), - défavorise les importateurs (détérioration des termes de l'échange)

- mouvement inflatoire qui se diffuse sur l'ensemble de l'économie mondiale (chocs pétroliers), ce qui implique de mettre en place une politique restrictive qui freine l'inflation mais engendre (souvent) la récession (ralentissement de la croissance économique),

- profits des compagnies pétrolières (augmentation de leur marge bénéficiaire) mais substituts possibles.

Ex: effets d'une hausse du prix du brut entre 2000 et 2008. Prix énergétiques ont plus que 2 X augmentés, d'où des importations plus chères car prix de l'énergie augmente, énergie très importante dans nos exportations.

ex: prix de pétrole (voir slide 25). Différents niveaux de décisions dans la détermination du prix (prix du producteur, prix départ-usine).

- Prix de base = induit le prix du produit raffiné sur le marché au comptant, prix d'une tonne "sur le bateau" + le produit doit ensuite être acheminé (transport), + y ajouter le prix d'assurance (CIF – cost insurance freight).

- Accises = utilisées par les pouvoirs publics pour jouer sur la consommation. Moins d'accises sur le diesel que sur l'essence mais vont sûrement être augmentées et arriver à égal.

Diffèrent selon les produits. Source de recette fiscale importante pour l'état mais aussi instrument de politique économique.

- Prix du Brut = Prix d'extraction (diffère de gisement à gisement) + CIF (transport) + Tp (versassions) par rapport au prix d'abstraction qui diffère selon l'endroit d'où il provient).

Le prix à la pompe est une centaine de fois supérieur au prix d'extraction. (Importance de marges de distribution).

Prix défini par Offre et Demande mais aussi par des facteurs externes.

- Valeur d'usage = utilité du bien ou du service, satisfait des besoins directement (biens de conso), indirectement (conso intermédiaire).

- Utilité = capacité à satisfaire les besoins.

- Valeur d'échange = biens et services doivent être interchangeable. La valeur d'échange définie le prix.

Le prix est défini selon les mécanismes du marché, mais aussi à cause de facteurs externes.

Prix = Inputs (sert à la fabrications) + E (coûtes énergétiques) + W (coûts du travail) + A (amortissement) + PIE (profit).

Biens = marchandises, matériel, mesurable, stockable.

Bien de consommation finale/privé (un kilo de clous acheté par un ménage).

Bien de consommation intermédiaire (un kilo de clou acheté par un menuisier).

Services = immatériels, non-mesurable, non stockable.

Secteurs primaires (entreprises d'extraction, agriculture) et secondaires (entreprises manufacturières, secteur de l'eau, du gaz, de l'électricité) = biens.

Font de plus en plus appel à des services pour produire des biens matériels. // Secteurs tertiaires = services.