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Filtrer les éléments par date : juillet 2014

La quasi-monnaie

sont les comptes à très court terme qui constituent de bons substituts à la monnaie.

Principe : plus on s’éloigne de M1 – parfaitement liquide – plus le taux d’illiquidité croît

C’est la croissance de l’agrégat M3 que la Banque centrale européenne observe dans le cadre de sa
politique monétaire.

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Le coefficient de fuite en billet

suppose qu’une partie des prêts ne sont pas réinjectée dans le système bancaire.

Cette agrégat monétaire symbolise la masse monétaire/ le stock monétaire. Ce stock est constitué par la somme de la monnaie fiduciaire (billets en circulation parmi les agents économique non bancaires) et scripturale (comptes à vue détenus par les agents économiques non bancaires). Pour que la monnaie soir monnaie, elle doit sortir du « système bancaire dans son ensemble ». Les billets qui circulent sont utilisés plusieurs fois, ce qui explique que le stock monétaire est de loin inférieur au montant du PIB.

- La quasi-monnaie (M2,M3,etc)

Par définition, la monnaie est d’une liquidité parfaite.

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Comment mesurer les prix ?

Les prix sont exprimés en unité monétaire par unité de bien (litres, poids, unité...). Pour comparer les prix (comment évolue les prix) on construit des indices de prix = on ramène les différents prix à une base commune (= base 100). Méthode : On prend alors une année de référence (qui sera cette base 100) et on divise les prix de chaque année par le prix de l'année de référence. => Cela permet de comparer (pour des biens dont les prix ne sont pas directement comparables = unités différentes) l'évolution des prix de différents biens. Formule : Indice Prixt = 100 x Prixt/Prixannée de base

a) Indice composite ou synthétique

Formules : Indice Prix x Production énergétique

La part du pétrole/charbon fait référence à la part du pétrole/charbon dans les importations énergétiques globales.

Exemple Cf. tableau 3 (corrigé!) => La part du charbon est indiqué tandis que la part du pétrole correspond au reste pour arriver à cent => Ex : En 1996 la part du pétrol est de 93 Calcule de l'indice de 2004 : 0,07 x 205,2 + 0,93 multiplié par 132,8 = 137,9 Ces deux chiffres sont proches car la part du pétrole est très importante = 93% => Cf. graphique la ligne bleu et la jaune sont en effet très proches.

b) Utilisation des indices

Un indice est une mesure sans unité, c'est pour cela qu'il y a nécessité d'une référence = année de base (sinon l'indice 100 ne signifie rien). L'indice n'indique donc rien sur le prix du produit, il ne conserne que l'augmentation du prix. Ex : Sur le tableau l'indice 205,2 du charbon ne signifie donc aucunement que le charbon était plus cher que le pétrole (indice 132,8), cela signifie seulement que le prix du charbon a davantage augmenté que celui du pétrole. L'indice permet de comparer des évolution de niveau différent => Il permet ainsi d'agréger "des pommes et des poires" (= des choses qui ne sont pas comparables).

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La chaîne des prix (de la matière première au prix de détail)

a) Du prix du pétrole raffiné au prix à la pompe

1) Prix de base = prix du produit raffiné sur le marché au comptant (= spot) de Rotterdam => prix initial déterminé par Rotterdam. Le prix de base dépendra alors du cours bilatéral $-euro.

2) Le prix du produit raffiné ne doit pas être confondu avec le prix du pétrole brut (également déterminé à Rotterdam) => on ajoute alors au prix du produit raffiné le coût de raffinage, des marges de la société pétrolière et du transport.

3) A ce prix de base, il faut encore rajouter « la marge totale » qui comprend: - le coût de stockage - la marge de distribution (MD) qui se divise entre la "marge de distribution de la compagnie pétrolière"(= frais liés à la distribution mais aussi ses bénéfices) et la marge du « pompiste » (si ce dernier est un détaillant indépendant, propriétaire de sa station).

4) L’État perçoit ensuite sa dîme = accises (= impôts indirects) perçus sur deux grandes catégories de biens: les alcools et les carburants. => En additionnant tout, on obtient le prix consommateur hors TVA (= taxe sur la valeur ajoutée qui est un impôt indirect).

5) En ajoutant la TVA, on obtient le prix consommateur TVA incluse => C’est un prix maximum, fixé par « un contrat de programme des prix de vente des produits pétroliers ».

b) Du prix d’extraction au prix du produit raffiné Il diffère de gisement à gisement (Koweit < Algérie < Mer du Nord) => Prix du brut = Prix d’extraction + Fret + Tp Tp : impôts perçus par le pays producteur.

c) Conséquences économiques des fluctuations de prix

- Une hausse du prix favorise les exportateurs

- Une hausse du brut défavorise les importateurs = déterioration de la balance commerciale et des termes de l'échange.

- Une hausse importante du brut a des effets inflationnistes qui se diffusent dans l’ensemble de l’économie mondiale => Ex : les chocs pétroliers de 1973 et 1981.

- Une hausse du brut augmente la marge bénéficiaire des compagnies pétrolières. Mais si les prix du brut augmente trop, des énergies-substituts peuvent constituer une menace à terme. => Toute baisse du brut a des résultats inverses!

Ex : L'importation de produits energétiques en Belgique. En 2000 : l'importation de produits energétiques correspondent à 9,7% des importations globales. En 2008 : celles-ci représentent 20 % des importations globales => Cela s'explique par l'augmentation des prix énergetiques (multipliés par plus de deux dans cette période). => Le fait que les importations énergetiques pèsent davantage résultent en très grosse partie du fait que leur prix a considérablement augmenté. Cette augmentation a une conséquence immédiate sur les importation du pays et plus précisément sur sa balance commerciale : C'est la difference entre la valeur de ce qui est exporté et de qui est importé dans un pays.

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Valeur, prix et coût

Les biens et les services ont une certaine utilité (= valeur d’usage).

- Valeur d'usage : renvoit à l'utilité du bien et/ou du service et se définie comme la capacité de satisfaire des besoins. Ces besoins peuvent être satisfaits:

- directement : s’il s’agit de moyens de consommation = biens de consommation

- indirectement : s’il s’agit de moyens de production = consommations intermédiaires La valeur d'usage est ainsi liée à la satisfaction des besoins => Elle est donc variable (selon les groupes Distributing prohibited | Downloaded by: Jessie De Loor | E-mail address: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez selectedr le JavaScript pour la visualiser. sociaux, les pays, les périodes...etc.) même lorsque le prix (= valeur d'échange) reste le même. Pour qu’un objet acquière le statut de marchandise, il doit être échangé = c'est l'échange qui le fait entrer dans la sphère économique. L'échange des marchandises s'établit alors selon des proportions déterminées qui donnent aux marchandises échangées une certaine valeur =>

L'échange confère aux marchandises une certaine valeur. La valeur d’une marchandise s’exprime par son prix (lui même exprimé en unités monétaires).

- Valeur d'échange : Les biens/services s'échangent contre un prix = valeur d'échange. Le prix est determiné par les mécanismes du marché => Le prix d'un bien est composé du prix des coûts de production (amortissements, taxes, inputs, coût du travail) et des profits.

- La formation des prix : Prix = INPUTS + EN + W + A + PROFITS Inputs matériels : La farine pour le pain, par exemple => Les biens/services nécessaires à la production du bien/service final. En : Les coûts énergétiques W : Les coûts du facteur travail A :

L'amortissement des biens de capital fixe => cela correspond à l’usure (à la dépréciation) des biens d’équipements (= inputs matériels qui ne vont pas être consommés immédiatement dans le processus de production et dont la "durée de vie" sera supérieure à 1 an). Ex : le four du boulanger. Profits : les bénéfices perçu par l'entreprise suite à la production de biens/services. => Dans la réalité, les prix ne fixent pas toujours de façon si schématique et d'autres facteurs sont également à prendre en considération. les ACCISES, par exemple (= taxes de l'Etat utilisée à des fins de gestions économique (santé..etc)) influe sur les prix => Ex : c'est l'augmentation des

ACCICES qui se répercute sur les prix du tabac. => Celle-ci renvoient avant tout à des choix de politique économique. Il existe donc différents niveau de décisions dans la fixation de prix (entreprise, Etat...etc.). Malgré tout, l'équilibre de l'offre et de la demande reste tout de même d'une importance majeure dans la fixation du prix. Cet équilibre peut cependant être influencé par des évènement exterieurs aux marchés (guerres, crises..etc.)

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Biens et services

- Les biens : correspondent aux marchandises materielles, mesurables et stockables (= dotées d'un certaisn poids et d'un certain volume) => Secteur primaire et secondaire

- Les services : renvoient à l'immateriel et au non stockable, ils sont parfois aussi non ou difficilement mesurable => Secteur tertiaire. => Le commerce exterieur conserne principalement les biens tandis que les services représentent environ 80 % du marché interne. La distinction entre les biens et les services n'est pourtant pas si simple. Tout d'abord, un service ne peut parfois être réalisé seulement par l'utilisation d'outils (= biens matériels) et presque tous ont recours à des supports matériels. A l'inverse, les secteurs primaire et secondaire (qui consernent les biens) font de plus en plus appel à des services dans la production de biens matériels => On assiste à une "tertiarisation" de ces secteurs. On trouve aussi la notion de secondarisation du secteur tertiaire, employée lorsque l’informatique et la bureautique envahissent la sphère des services administratifs.

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Echanges et marchés

L'ensemble du fonctionnement de l'économie est basé sur les échanges. Les consommateurs achètent des biens et des services de consommation. Toutes ces marchandises satisfont un certain besoin humain au sens large. On parle d'échange car le bien/service qui est échangé a une valeur d'usage / une utilité => C'est cela qui provoque l'échange. En général (sauf en cas de troc) l'échange se fait par le biai d'un prix. Tout comme il existe une infinité d'échanges, il existe une infinité de marchés : le marchés privé (=consommations privées), le marché des matières premières (= pétrole, métaux précieux...etc.), le marché produits agricoles, le marché immobilier (terrains, logements, bâtiments...etc.), le marché mobilier (= titres, actions, obligations, fonds d'Etat...etc.), le marché des monnaies (ou devises), le marché du travail...etc. Pour l'étude de ces différents marchés on dispose d'abord d'outils communs mais aussi d'outils particuliers, propres à certains/chaque marchés => Cela s'explique par le fait que chacun de ces marchés obéit ainsi à des lois qui sont communes mais font aussi preuve de certaines particularités.

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La libéralisation des services financiers est-elle toujours une bonne chose ?

On peut soutenir que la libéralisation des services financiers a nui à certains pays en développement. Quand les grandes banques internationales ont écrasé leurs concurrentes locales, elles ont canalisés les fonds collectés, non vers les PME du pays, mais vers les multinationales, aces lesquelles elles se sentaient plus à l’aise.

La pensée économique dominante est la « théorie néo-classique » fondée sur l’individualisme méthodologique, qui consiste en la maximisation du profit et de l’utilité. Cette pensée est associé au courant néo-libéral du point de vue de la politique économique, soit, le libre-échange généralisé, le désengagement de l’Etat, la dérégulation des marchés du travail et la déflations compétitives.

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L’économie normative

utilise les outils de l’économie positive afin d’en sortir des valeurs, des préférences.


Les outils d’analyse économique, sont les suivant, la modélisation mathématique et logique,
l’analyse statistique et économétrique, la rigueur et la précision.

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