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Variante A : récolte manuelle

On récolte avec des faux et beaucoup de travailleurs à salaires assez bas, pendant 15 jours.

C’est la composition organique du capital : il indique les proportions relatives du capital et du travail mis en mouvement : « à partir d’une technique donnée, combien de capital faut-il utiliser par unité de travail engagée ? »

C’est le capital output ratio, qui met un stock (K) en présence d’un flux (O) : « à partir d’une technique donnée, combien de capital faut-il pour produire un certain output ? »

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Définition de …P…

On y crée de nouvelles « valeurs d’usage » ; c’est tout le secteur primaire, tout le secteur secondaire (activités « productives ») et la sphère « entretien et réparation », ainsi que le secteur HORECA, ce qui est relatif aux transports,… M doit être pesée, emballée, acheminée pour que le consommateur puisse en faire usage -> la majorité de la sphère M-A fait partie de …P… (on inclura aussi les services aux ménages).

Le critère majeur pour déterminer si on est dans …P… est le critère de la valeur d’usage au sens large : créer, permettre l’utilisation, conserver, perfectionner la VU existante.

Le critère de VU est donc important, il place l’homme au centre de l’activité économique. Valeur d’usage = valeur pour un consommateur en fonction de l’utilité qu’il en retire par rapport à ses besoin.

On peut représenter la sphère de production comme suit :

-> Kf M -> Kc …P… M’ (produit) -> L

Avec les inputs matériels et les biens de capital fixe, les travailleurs produisent des marchandises. Les entreprises produisent un certain output (O) (M’=O). La VU de M’ n’est pas la même que celle de M. Le prix des quantités produites est plus grand que celui des inputs achetés -> valeur ajoutée:

VA = Output – Inputs matériels

On peut associer le facteur capital et le facteur de travail pour obtenir un output identique, en théorie ->la courbe qu’on obtient est appelée isoquant (on obtient le même output avec des configurations de L et de K différentes).

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Biens de capital fixe (Kf)

« Fixes » : ils sont « fixés » dans la production pendant un temps plus long que la période de production en elle-même (tracteur, vache,…), globalement leur durée de vie dépasse un an. Ils comprennent les biens d’équipement ainsi que les terrains et bâtiments. Deux aspects de ces biens : Stock = ce qui existe à un moment précis (valeur du stock des biens de Kf = somme de la valeur de tous ceux-ci à un moment donné).

Flux = ce qui se passe avec les biens de Kf pendant une période donnée

-> achats de biens de capital pendant un an. C’est un flux, brut ou net : IB = IN + A

IB [investissements bruts] ; IN [investissements nets] ; A [amortissements] Les amortissements couvrent la valeur des investissements de remplacement. Cet investissement est un concept matériel : acheter une foreuse, une aciérie,… Mais il y a aussi le côté financement : comment finance-t-on les investissements (nets) ?

Financement de IN = autofinancement + crédit + augmentation du capital

Pour augmenter le capital, on peut émettre de nouvelles actions achetées ensuite par des ménages, entreprises,… Ils deviennent actionnaires et perçoivent un dividende chaque année (capital à risque puisque les dividendes dépendent du bénéfice fait par l’entreprise).

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Indice des prix et indexation des salaires

Les salaires sont adaptés automatiquement à l’évolution des prix à la consommation : indexation automatique des salaires. Chaque fois que l’indice des prix montre une augmentation générale des prix de 2%, les salaires sont augmentés de 2%. On se base sur des indices-pivot :

IP2 = IP1 x (1+0.02)

C’est un mécanisme qui provient des négociations entre employeurs, salariés et pouvoirs publics. En 1976, le gouvernement a neutralisé les hausses temporaires des prix des fruits et légumes pour calculer les IP qui déclenchent les augmentations de salaire. Il fallait lutter contre la « spirale inflatoire ». On a donc lissé la liaison des salaires au prix :

Indice lisséavril = 0.25 x (Indice prixjanvier + indice prixfévrier + indice prixmars + indice prixavril)

En 1993, on a instauré l’indice santé : tabacs, boissons alcoolisées, carburants et gasoil ne figurent pas dans l’indice santé (à cause d’un problème de la compétitivité de l’économie belge). Cela a pour conséquence que l’Etat peut taxer « impunément » ces quatre produits. En même temps, le pouvoir d’achat des salaires et revenus indexés diminue.

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