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Dans cet ouvrage, Darwin défend

-> l’idée centrale de l’évolution des espèces, selon laquelle les espèces se transforment avec le temps et que les individus « les plus aptes » de chaque espèce survivent au sein de celle-ci et transmettent leurs aptitudes à la génération suivante.

-> l’idée que le moteur de cette évolution réside dans les capacités d’adaptation aux changements du milieu ou de l’environnement.

L’évolution est ici considérée comme un progrès inévitable de l’espèce, puisque le destin des espèces est soit d’évoluer vers des formes capables de croître, soit de s’éteindre.

Ainsi, le paradigme évolutionniste en anthropologie ne sera jamais étroitement imbriqué, ni dépendant de l’évolutionnisme tel que Darwin le fait émerger en biologie, même si on retrouvera des allusions à la sélection naturelle chez des anthropologues évolutionnistes.

Il n’en reste pas moins que, en anthropologie comme dans les autres sciences sociales, l’évolutionnisme dans son ensemble ne doit donc pas être confondu avec les différentes formes de darwinisme social qui renvoient à des théories les idées de Darwin dans le champ des sciences sociales.

À la même époque que celle où Darwin réfléchit à l’origine des espèces, et énonce ses thèses sur l’origine de l’homme, des biologistes classent les types humains, des archéologues classent des fossiles animaux et humains, des outils de pierre préhistoriques de différentes époques.

Des juristes réfléchissent à l’évolution des régimes de droit et des institutions.

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