Luther et la question du salut
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début 16e siècle, la perspective d’une vie éternelle passée dans le feu de l’enfer est angoissante.
Faire son salut est un enjeu important. Très croyant, Martin Luther est particulièrement angoissé par cette question.
Influencé par l’augustinisme et par la devotio moderna, il a une vision très pessimiste de l’homme, qui ne peut être sauvé que par la grâce de Dieu. C’est la thèse du serf-arbitre.
Docteur en philosophie, il entre chez les Augustins en 1505. En 1510, il est envoyé à Rome en mission.
Il est profondément choqué par le faste, la richesse, la corruption qui règnent dans cette ville.