Taxe Tobin
- Publié dans Economie
taxe sur les transactions financières internationales permettant d’alléger le poids de la dette des pays en développement.
taxe sur les transactions financières internationales permettant d’alléger le poids de la dette des pays en développement.
La dette extérieure ne constitue pas une composante distincte de la PEG, mais elle peut être
calculée par addition des composantes de la PEG autres que le capital social.
Les composantes de la position extérieure, sont les stocks correspondant à l’accumulation de flux enregistrées dans le compte des opérations financières. On y retrouve donc :
1. Les investissements directs
Dans le compte des opérations financières, ce sont les accroissements ou les diminutions de participations directes dans des entreprises étrangères par des résidents ou dans des entreprises résidentes par des non-résidents.
L’augmentation des investissements directs est un bon indicateur de ‘étendue de la mondialisation.
2. Les investissements de portefeuille
Ce sont les emplacements ou emprunts de long terme des résidents dans des actifs financiers de long terme émis par des non-résidents et, inversement, les placements effectués par des nonrésidents dans des actif financiers de long terme émis par des résidents.
C’est dans ce poste, que l’on retrouve la partie de la dette publique d’un pays qui est logée à l’étranger.
3. Autres investissements
Ce sont des avoirs ou des engagements de court terme. Y figurent ; les prêt consentis par les institutions financières et bancaires résidentes vers des non-résidents et inversement, et, les crédits commerciaux, qui sont octroyés dans le cadre des opérations d’exportations et d’importations de biens et services.
4. Avoirs de réserve
Ce sont des réserves à la disposition des autorités monétaires pour mener leur politique monétaire. On y retrouve ; l’or monétaire, le stock de devises étrangères détenu par la B.C, les droits de tirage spéciaux auprès du FMI et les positions de réserve auprès du FMI. Ce sont nécessairement des avoirs et non des engagements. Donc on ne les retrouve que du côté actifs de la position extérieure globale et non du côté des engagements.
- a pour objectif de retracer l’ensemble des créances et des engagements des résidents vis-àvis
des non-résidents.
- Comptabilise les stocks
Indique si un pays est débiteur net vis-à-vis du reste du monde ou s’il est créditeur net.
Le compte des opérations financières est la contrepartie de la balance des opérations courantes et
du compte de capital. Il comptabilise des flux financiers.
Quand la somme de la balance des opérations courantes et de la balance des opérations en
capital est positive, alors le pays prêt eu reste du monde. Inversement, si la somme est négative,
alors le pays emprunt au reste du monde, ce qui alourdi sa dette extérieure.
Le compte de capital enregistre :
- Des opérations de subventions et de dons pour financement d’investissement
- Les biens meubles et immeubles transférés par les migrants
- Les acquisitions ou cessions d’actifs non financiers non produits
- Les remises de dette
Ces opérations restent très limitées et leur poids, au crédit comme au débit, est très faibles
1. Les opérations sur marchandises
FOB : free on board, càd que les frais de transport des opérations X sont comptabiliser jusqu’à la frontière du pays exportateur
CIF : cost insurance freight, càd que les frais de transport et d’assurance des opérations M sont comptabiliser jusqu’au port de destination
Il y a trois types d’opérations sur marchandises :
- Les marchandises
- Le travail à façon : opérations d’un produit exporté pour le transformer mais qui reste la propriété du pays d’origine
- Les réparations
2. Les opérations de services
· Graphe 80 – représentation du point d’équilibre entre IS-marché réel et LM- marché monétaire
· Graphe 81 : accroissement de la masse monétaire M
Quand la masse monétaire augmente, les points de coordonnées de M(l) et de M(t) augmentent aussi. Donc la droite se décale vers le haut. Un accroissement de la masse monétaire entraîne donc un déplacement vers le bas de la courbe LM (voir graphe 82) soit une baisse de R et une augmentation de Y.
· Graphe 83 : modification de la propension à épargner
En supposant que LM est sable, si la propension à consommer augmente, la propension à épargner va diminuer ce qui entraîne un déplacement de la droite SY vers y. Donc à un niveau Y plus élevé.
· Graphe 84 – déplacement de IS
En supposant que LM est stable, un déplacement de IS vers le haut avec un R et un Y plus élevé signifie que les ménages décident de consommer plus (c augmente) et d’épargner (s diminue) moins. Cela parce que la sécurité sociale croît ou parce que l’épargne pour les besoins de santé, l’éducation ou la retraite décroit.
Soit : M (masse monétaire) = M(t) + M(l) (voir graphe 78)
- La courbe LM ayant pour abscisse R et Y pour ordonnée correspond aux points d’équilibres entre la demande de monnaie pour motif de transaction M(t) et la demande de monnaie pour motif de liquidité M(l).