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Filtrer les éléments par date : juillet 2014

Coût du travail et réduction des cotisations employeurs

Permet une meilleure compétitivité externe des entreprises (réductions ciblées sur certains secteurs comme les jeunes, les entreprises, les vieux / réduction générale pour tous les salariés).

Permet d'accroître la demande de travail des entreprises (élasticité de la demande).

Le travail devenant moins cher, on substituera moins de capital au travail donc l'emploi va s'accroître.

Incertitudes et imprécisions, mesures similaires dans les autres pays (si tout le monde fait pareil, on va vers le bas). Multiplicité et complexité.

Favorise l'emploi de peu qualifiés (jeunes et chômeurs), (élasticité de la demande de travail beaucoup plus forte quand on considère les peu qualifiés).

Réduction des cotisations de sécurité sociale et financement.

Financement alternatif = politique de diminution des coûts du travail pour diminuer l'écart entre le brut et le net, si on diminue les cotisations il faut compenser on va donc transférer une partie de la TVA, taxe sur les voitures de société…

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Les cotisations sont proportionnelles aux revenus

(celui qui gagne plus paye plus), les allocations ne sont que partiellement proportionnelles au revenu parce qu'il y a des plafonds, elles sont fonction du risque.

Ces transferts sont très importants car ce sont des stabilisateurs automatiques : quand il y a eu récession (2008-2009), presque tout le monde a été couvert, l'emploi à fortement chuter et beaucoup ce sont retrouvés au chômage économique et on donc pu garder un certain revenu sans ça elles se serait retrouvées sans revenus la consommation des ménages aurait donc diminué, l'épargne aurait chuté et il y aurait eu un effet de retour sur le PIB.

Les 2 gros postes de la sécurité sociale sont les soins de santé et la pension.

Discussions sur les effets du vieillissement (génération baby boom arrive maintenant à l'âge de la retraite, ils vivent plus longtemps et sont plus longtemps malade, gonfle le chiffre de la pension).

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Salaire indirect

sert à payer les différentes allocations = cotisations employeurs + cotisations salariés.

Système de sécurité sociale différent dans chaque pays.

En Belgique, ce sont essentiellement les cotisations (2/3 et 1/3 de financement public) qui financent la sécurité sociale, dans d'autres pays c'est la fiscalité (finances publics, impôts).

Suit une logique redistributive puisque qu'on prélève une certaine somme sur les salaires pour la transférer vers les inactifs.

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Masse salariale

= Wb + cotisations employeurs/ Coût salariale / masse salariale. Exemple : salaire brut de 3000, l'employeur paye 35% de cotisations, le salarié 13,07% + 30% de précompte professionnel, il reste 1826 au final.

Et le coût salariale pour l'employeur est de 4050 (double de ce que le salarié perçoit).

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Rémunération des facteurs de production

Rémunérations des salariés, revenus mixtes nets, excédents net d'exploitation. A = amortissements, ENE = excédent net d'exploitation, EBE = excédent brut d'exploitation, Y (n)k,L = revenus mixtes (nets).

-> PIBPM = PINCF + A + (Ti – Subv) = YL + ENE + YnK,L + A + (Ti – Subv) = YL + EBE + YK,L + (Ti - Subv)

Rémunérations est de loin le poste le plus important du PIB. Revenu disponible se réparti d'une part dans la consommation et d'autre par dans l'épargne.

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Relation entre net et brut : les amortissements

PIB – amortissements = PIN (produit intérieur net). Les taxes et les subventions donnent la différence entre le PIN et le prix du marché.

Amortissements = remplacement de l'appareil productif usé dans le processus de production

PINPM = PINCF - (Ti – Subv)

PIB = rémunérations des salariés + excédent d'exploitation et revenu mixtes bruts + (Ti-S) la production et les importations.

PIN prend en compte la rémunération des salariés, les revenus mixtes nets et les excédents nets d'exploitation.

RNB = PIB + Y primaires à recevoir du RM – Y primaires à payer au RM = PNBpm Y = transferts et RM = reste du monde.

RNN = RNB – consommation de Capital fixe Revenu national disponible Brut = RNB + transferts courants à recevoir de RM – t.c. à payer au RM.

Epargne brute = RNB – dépenses de consommation finale.

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Les indicateurs conjoncturels

permettent de prévoir les fluctuations du PIB, enquête mensuelle de conjoncture de la Banque nationale (donne leurs prévisions) auprès des entreprises manufacturières, caractère très pro-cyclique.

Fluctuations conjoncturelles dépendent aussi de la conjoncture internationale (Belgique hypersensible parce que notre économie est très ouverte et la production industrielle comprend beaucoup de produits semifinis).

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