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Filtrer les éléments par date : juin 2014

Ecolo-Groen

= fruits de l’évolution du monde politique qui voit les mouvements écologistes prendre de plus en plus d’importance. Ecolo va s’imposer comme la 3ème/4ème force politique et voir son électorat croître d’élection en élection, pour finalement s’imposer au gouvernement.

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Les partis communautaires

La Volksunie (VU) fut fondée en 1954. Elle lutte essentiellement pour une nouvelle organisation fédérale du pays. Petit à petit, une partie radicale de la VU quitte le parti, tandis que la VU rejoint les partis traditionnels. Pendant un moment, on a pu penser que l’évolution institutionnelle avait pour effet d’affaiblir le mouvement flamand, mais il se redéveloppera par la suite avec la N-VA adjointe au CD&V et Spirit adjoint à la SP.A.


Le Vlaams Blok, devenu Vlaams Belang, fut constitué en 1979. Il regroupe les éléments les plus conservateurs et d’extrême droite du mouvement flamand. Il se caractérise par une lutte pour l’autonomie de la Flandre et par sa volonté de voir se mettre en place une société très hiérarchisée fondée sur l’autorité. Il se positionne comme un parti d’extrême droite xénophobe qui va lutter contre toute forme d’immigration. Ceci va lui valoir le soutien du parti non négligeable des électeurs flamands. Progressivement, il va grignoter des voix aux partis traditionnels pour s’imposer comme une des grandes forces politiques flamandes.


Les mouvements wallons ne seront jamais aussi puissants que leurs homologues flamands. Le rassemblement wallon n’aura pas la possibilité de s’imposer sur la scène politique. Par contre, à Bruxelles, le FDF, front démocratique des Bruxellois de langue française, va s’opposer aux grandes lois linguistiques et porter l’aspect francophone d’une partie de la population bruxelloise. Ce parti rejoindra par la suite le MR.

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Le parti communiste et les autres mouvements de gauche

Le parti communiste, sorti auréolé de la 2ème Guerre Mondiale, perd progressivement ses députés, avant de disparaître de la scène politique en 1985. D’autres mouvements de gauche se développent, comme la Ligue Révolutionnaire des Travailleurs (LRT), le Parti du Travail de Belgique (PTB), … Ils vont symboliser une extrême gauche qui n’a plus tellement d’audience.

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Les partis socialistes

Jusqu’en 1978, il y a 2 coprésidents. En 1978, PSB et BSP abandonne chacun la lettre B. En 2001, le SP se transforme en SP.A. Ces partis prennent chacun des positions de plus en plus marquées sur le plan communautaire. Aujourd’hui, seule une des 2 branches du mouvement socialiste se trouve dans le gouvernement fédéral.

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Les partis libéraux

Ils abandonnent leur programme anticlérical pour s’ouvrir aux catholiques. En 1961, le PRL prend le nom de Parti pour la Liberté et le Progrès (PLP). Le mot libéral disparait d’une certaine manière. On a donc le PLP et son homologue flamand le PVV. Il s’agit du parti belge qui va essayer le plus longtemps possible de garder son unité. Il fera même campagne là-dessus. Mais les discussions
autour des réformes de l’Etat vont le conduire la division-> création du Parti Réformateur Libéral (PRL) et de l’Open VLD. Le PRL s’associera plus tard avec le FDF pour former le MR.

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Les partis catholiques

Ils vont continuer à dominer la scène politique, à un tel point qu’ils seront dans toutes les coalitions gouvernementales jusque 1999. Le Parti Social Chrétien (PSC) est né au lendemain de la 2ème Guerre Mondiale. Il va progressivement prendre ses distances par rapport à son parti frère flamand : le CVP à partir de la fin des années 1960. A ce moment-là en effet, les catholiques connaissent l’affaire de l‘université de Louvain, catholique. Celle-ci est bilingue, mais établie sur le sol flamand. Or, selon le nouveau principe de la communautarisation de l’enseignement, la section francophone ne peut plus subsister. Le parti catholique va se déchirer sur cette question, et les 2 ailes linguistiques vont se séparer.

Le PSC va tenter de plus en plus d’occuper le centre du paysage politique. Il va même aller jusqu’à abandonner le mot « chrétien » pour devenir le Centre Démocrate Humaniste (CDH). On garde le C mais il change de signification. Il y a là une volonté de prendre en compte l’évolution de la société par rapport au catholicisme (‡ attitude des libéraux qui ont ouvert leurs rangs aux catholiques au début des années 1960).


Le CVP domine toujours très nettement le paysage politique en Flandres. Rejeté dans l’opposition en 1999, c’est l’occasion d’un ressourcement, d’une remise en question  le CVP change de nom en en 2001 pour devenir le CD&V. On garde les mots « démocrate » et « chrétien », mais on insiste sur l’aspect flamand. Le parti va s’allier avec un petit parti, la N-VA, très proche des radicaux du mouvement flamand.

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Les partis politiques

Le pacte scolaire libère les énergies, on se tourne vers d’autres enjeux. Ceci va marquer les partis politiques : déjà organisés en 2 ailes, ils vont éclater -> Belgique = pays où il n’existe plus de partis nationaux -> il n’y a plus aucun lieu où l’on peut avoir, au sein d’une même mouvance politique, de véritables négociations, les partis se repliant sur leurs communautés. Ceux-ci vont d’abord se munir de 2 présidents (un francophone et un néerlandophone), avant que leurs ailes deviennent complètement autonomes. Leurs noms changeront même de part et d’autre de la frontière linguistique. Conséquence : multiplication par deux du nombre de partis.

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Le retour de la crise

Les années 1970 marquent la fin des Trente Glorieuses. C’est un choc important pour la population. On peut dater la crise en 1973, année charnière du conflit israélo-arabe Kippour qui a fait flamber les prix du pétrole. Dans cette euphorie où l’on croyait le progrès porteur de tous les bienfaits de l’humanité, on se rend soudain compte que l’on est quand même dépendant d’autres éléments, comme les pays arabes, qui ont la possibilité d’intervenir sur le développement économique de l’ensemble du monde industrialisé.


Le choc est rude, tellement soudain que l’on observe une transformation des habitudes. On va essayer d’imposer une nouvelle politique d’économie de l’énergie. Il y aura par exemple les dimanches sans voitures, à l’époque perçus comme une atteinte à la liberté de chacun, une réduction des illuminations lors des fêtes de fin d’année, une réduction de l’éclairage des autoroutes, … Il y a donc petit à petit une prise de conscience de la population, qui comprend qu’on est entré dans une nouvelle période qui, sur le plan social, va être marquée par les conséquences industrielles considérables.

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Les mutations de l’enseignement

Le nombre d’élèves dans l’enseignement secondaire explose. Ils veulent ensuite avoir accès à l’université -> démocratisation de celle-ci. Pendant l’entre-deux-guerres, on avait beaucoup construit. Ces constructions furent reprises à la fin des années 1950 jusqu’en 1970 afin d’accueillir ces nouvelles générations d’étudiants. Des pavillons provisoires furent installés, mais la crise des années 1970 ont transformé le provisoire en définitif.


Mai 68 = demande de la part des étudiants de voir les institutions académiques se transformer ->réformes instaurant la présence des étudiants aux conseils administration et facultaire. CCL : on observe la vitesse et l’ampleur des transformations qui marquent les années 1960 sur les plans politique, économique et social ; mais cette accélération de l’histoire s’arrête brutalement au début des années 1970.

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Les effets négatifs du progrès sont masqués

On considère que le progrès est nécessairement porteur de bonheur. Mais pendant ce temps, on oublie que le tiers monde meurt de plus en plus de faim et que la situation devient catastrophique dans les pays sous-développés.


On va construire énormément. Bruxellisation = construire le plus possible des grands immeubles. Les promoteurs comprennent en effet qu’il y a beaucoup de bénéfices à faire. On considère par ailleurs que l’automobile est reine -> aménagement du territoire -> multiplication des autoroutes, même jusqu’au coeur de Bruxelles -> les habitants les plus aisés vont chercher de l’air en périphérie. Mais des infrastructures construites de manières provisoires, notamment dans le cadre de l’exposition de 58 vont le rester pendant des décennies. De plus, si es voitures apparaissent dans un 1er temps sympathiques, elles polluent en fait énormément, et tuent de plus en plus.

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