Exportations
- Publié dans Economie
biens et services produits dans l'entité économique et fournis au reste du monde.
biens et services produits dans l'entité économique et fournis au reste du monde.
- = Total des dépenses nationales = + exportations de biens et de services .
Reste du monde : X et M. PIB = Cfm + Cfap + CfISBLSM + I + X – M.
I = a x delta revenu. MCOR = delta K / delta O, a = I / delta Y = MCOR. Relation qui lie l'investissement à la variation du revenu.
Ex : situation t0, on produit 1000 avec 10 machines, première année je produit la même chose avec le même nombre de machine mais j'en remplace une donc j'investi une machine.
La deuxième année je produit 2X plus avec 2 X plus de machines (I net), j'en remplace une donc j'investi 11 au total.
année 3, demande continue à croître, on passe de 20 à 30 machines, j'en remplace une, Output s'accroît et on voit que l'investissement total reste le même alors qu'il y a eu une variation de la demande.
Année 4, la production s'accroît, mais les quantités investies sont beaucoup plus faibles, année 5 investissement de 1, année 6 récession, on ne remplace pas la machine, investissement nul.
L'investissement ne suit pas de manière linéaire, les revenus.
le climat économique (>0 1992, <0 climat actuel), le progrès technique (permet de substituer du capital au travail des situations de conflits sociaux), concurrence, conflits sociaux, taux d'intérêt (coût de l'emprunt, coût d'opportunité), la croissance du revenu national.
Investissement = formation brut de capital = Ib = In + A. In étant le renouvellement qui permet d'augmenter les stocks de capital et A les amortissements.
Investissements nets sont financés par l'épargne des ménages, des entreprises et de l'état.
Ib = Ie + Ih + Ig (Ie étant les investissement sdes entreprises, Ih investissements des ménages et Ig étant les investissement des entreprises comme les routes écoles).
L'investissement des entreprises croit fortement, malgré cela, la consommation des ménages est relativement stable.
pas de prise en compte de la sécurité sociale, la consommation du capital n'est pas nécessairement vérifiée, épargne parfois négative en début de vie car on contracte des emprunts et des prêts.
La consommation des ménages dépend du revenu à un instant t et de l'évolution probable du revenu que le ménage peut gagner selon son épargne.
La consommation privée réagit de manière atténuée p/r aux fluctuations économiques car les ménages se disent que dans certaines situations il vaut mieux épargner et donc leur consommation va s'atténuer selon leurs estimations.
La consommation privée ne suit pas nécessairement les fluctuations du PIB.
Dans la décennie 80, chute de la consommation privée à cause de la limitation des revenus, chute continue après ça surtout à cause du commerce extérieur qui augmente largement et donc automatiquement, les autres postes diminuent.
2) Dépense de consommation finale des administrations publiques comprend deux catégories de dépenses; la valeur des biens et services (essentiel) produits par les administrations ellesmêmes à des fins autres que la formation de capital pour compte propre et les achats par les administrations de biens et services produits par des producteurs marchands en vue de la fournir aux ménages au titre de transferts sociaux en nature.
Consommation publique à évoluée sensiblement à cause de l'augmentation des frais de scolarités, du baby boom, du développement de l'enseignement et des services de santé.
Décroissance après 81, sa part a réduit dans le PIB à cause de plusieurs décisions prises afin de réduire la dette et le déficit public.
Ne pas confondre dépenses de consommation finale des administrations publiques et dépenses publiques.
C = a x Ka + b x Yv. Ka = capital des ménages. Yv = revenu du cycle de vie, correspond approximativement aux revenus disponibles moyens des ménages depuis l'entrée sur le marché du travail jusqu'au décès.
fonction du revenu et des différentes époques de la vie. En ordonné : consommation, épargne, revenu et accumulation de capital des ménages.
Premièrement, les gens qui entrent sur le marché du travail consomment et l'épargne s'accumule (différence entre la consommation et le revenu disponible).
À l'âge de la pension, l'aprgne a constituer un patrimoine qui a atteint son sommet, le revenu disponible diminue et mais la consommation des ménages reste égale, on va donc consommer une partie de l'épargne accumulée, le ménage désépargne (b).
C = a + c x Y. a étant la consommation autonome et c la propension marginale à consommer, Y le revenu.
Variation de consommation finale des ménages consécutive à une variation unitaire du revenu .
c souvent entre 0,7 et 0,8, si le revenu national augmente de 1€ la consommation augmente de 0,7. Si le revenu est nul, c = a ce qui équivaut à la consommation minimale.
Propension moyenne à consommer : C = C / Y. Yd,h = g x Y.
- Dépense de la consommation finale des ménages = dépenses de consommation finale dans ISBLSM + dépenses de consommation finale des administrations publiques.
La consommation finale des ménages est composée des dépenses de consommation de biens et services de ménages, de la production des ASBL au service des ménages et des dépenses de consommation finale des administrations publiques.
1) La dépense de consommation finale recouvre les dépenses consacrées par les unités institutionnelles résidentes à l'acquisition de biens et de services qui sont utilisés pour la satisfaction directe des besoins individuels ou collectifs de membres de la communauté, consommation privée et publique.
Les 2 postes qui ont le plus augmenter dans la consommation nationale, entre 1980 et 2003, sont les importations et exportations, le commerce extérieur est essentiel en Belgique (85% du PIB).
Pour le calcul des dépenses finales ont doit retirer du chiffre les importations pour voir ce qui à été réalise à l'intérieur des frontières.
Consommation finale collective = tout ce qui est consommé en collectif (justice, enseignement), ce qu'on ne paye pas individuellement, consommation de chose à disposition de toute la population.
Une des relations fondamentale est la fonction de consommation : voir s'il y a une relation entre la consommation privée des ménages et le PIB.
La consommation (C) évolue de manière très similaire aux revenus (Yd), la différence entre les deux étant l'épargne et aussi, mais moins, similaire au PIB.