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Filtrer les éléments par date : juillet 2014

La fraternité

La philanthropique c’est-à-dire aider les personnes et leur donner les moyens de s’en sortir plutôt que la charité qui ne serait que mettre un pansement sur le mal sans le guérir

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L’égalité

C’est l’égalité des droits et non de fait. L’égalité de droit veut dire l’égalité des chances c’est-à-dire les privilèges sont supprimés et que chacun fasse de mieux qu’il peut.

Mais à cette époque, il y a déjà eu des partisans de l’égalité des faits c’est-à-dire défendant un égalitarisme (par exemple Tout le monde doit gagner la même chose etc.) comme par exemple Meslier, Gracchus, Babeuf pendant la Révolution Française.

On dit que Babeuf a été le premier communiste, ayant défendus des idées partageuses (c’est-à-dire pour le partage des terres etc.)

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La sûreté

La sécurité contre les atteintes du pouvoir arbitraire et de la propriété privée. Ce qui est acquis est définitivement acquis. On ne peut pas enlever les biens à une personne.

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La liberté

La liberté pour chaque individu de penser, d’exprimer, de dire ce qu’il veut mais aussi d’entreprendre sans contraintes comme par exemple les corporations. Il y a toujours l’aspect économique.

L’ouvrage d’Adam Smith de 1776, The Wealth of nations (qui est le premier ouvrage économique) énonce comme dogme l’équilibrage de l’offre et de la demande, l’économisation de temps pour le travail, la division, la spécialisation des fonctions.

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En France : l’entêtement suicidaire des privilégiés

Les privilégiés en France sont contre tout changement. Néanmoins la situation budgétaire de l’Etat est difficile.

Le banquier suisse, Necker, est engagé par le gouvernement pour faire le rapport des finances comme compte rendu au roi.

Il est très compétent mais on ne lui donne pas le titre de ministre puisqu’il est protestant. On lui attribue le titre d’expert.

Ce compte rendu sur les finances est publié et pour la première fois, tout le monde pouvait voir les dettes du roi ce qui cause un énorme scandale.

Au moment où Necker fait son rapport, la famille royale n’avait d’argent que pour trois jours d’avance dans les caisses. Les banquiers de cette époque n’arrêtent pas de leur emprunter parce que c’est quand même le roi et on croit qu’il remboursera un jour.

On peut dire qu’à ce moment-là, il y a déjà eu le commencement d’une rupture avec le roi. Necker est renvoyé parce que la noblesse s’oppose à ses reformes.

La situation s’aggrave et en 1787, une assemblée des notables (la noblesse, le clergé) est convoquée pour avoir une contribution au budget royale.

Le clergé qui fait de temps en temps un don au roi, refuse de payer et la noblesse également.

Il y a un blocage et en mai 1789, les Etats généraux sont convoqués pour trouver une solution.

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Les prémices de la révolution brabançonne

Deux avocats : Van der Noot qui est le chef des conservateurs et très catholique, et Vonck qui est flamand, leader des démocrates et également catholique.

L’Eglise va miser sur Van der Noot pour s’opposer à Joseph II puisque celui-là est un partisan déclaré de revenir au temps de Marie Thérèse.

Selon Vonck, les réformes n’ont pas tous était mauvaises (par exemple plus de représentation de la bourgeoisie etc.) mais il a quand même un problème avec quelques unes comme par exemple celle sur les séminaires de l’Etat. Vonck est encore modéré comparé aux autres démocrates.

L’Eglise va utiliser les débardeurs pour chasser les partisans de Vonck qui vont se réfugier dans le Nord de la France et revenir avec les Français lors de l’expansion de la Révolution française.

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La tolérance imposée

Il mécontente également l’Eglise non seulement par sa réforme sur la tolérance de 1781 (qui d’ailleurs n’a pas suscité tellement de protestation puisqu’il n’y avait pas trop de publicité pour cette réforme).

En 1786-87, Joseph II prend une mesure de rationalisation du gouvernement et de l’administration.

Du point de vue religieux, il crée des séminaires d’Etat ce qui veut dire que les prêtres qui y sont formés, seront sous le contrôle de l’Etat et devront obéir au gouvernement et non au pape. Cette décision déclenche la colère des évêques.

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Joseph II et les Pays-Bas autrichiens

- Un souverain moderne

Un exemple de modernité est le fait qu’il décide qu’une grande réforme doit entrer en vigueur le 1er janvier d’une telle année et non comme avant à la Saint Michel ou autre jour du calendrier ecclésiastique.

Ceci est du jamais vu comme avant, on ne commençait jamais au début de l’année civile. Ceci montre le caractère « à bas la tradition » de Joseph II.

Il veut refondre les vieilles structures et introduire l’utilité, la rationalité et l’efficacité. En Pays-Bas existait à l’époque depuis le Moyen Âge trois conseils (des finances, des Etats, privés).

Joseph II ordonnera la création d’un seul conseil royale. Il fait la même pour les magistratures. Il découpe les Pays-Bas rationnellement en 10 Kreise (cercles) d’une plus ou moins même grandeur.

Il redessine ainsi des frontières qui existent depuis des siècles et il n’existe désormais plus des duchés, comtés etc. Désormais, il installe des intendants dans les cercles, ce qui déplaît à la population et à l’administration.

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LA REVOLUTION AMERICAINE

Cette révolution découle de la résistance des colons américains (souvent irlandais) contre la domination anglaise qui leur est imposé notamment sur le point de vue économique.

L’Angleterre avait le monopole commercial par exemple aucune marchandise venant des colonies ne pouvait être exporté sauf sur un bateaux anglais. Les taxes se multipliaient (dans le syllabus de Remacle : « No taxation without representation »)

La révolte débute avec la Boston Tea party en 1773 (dans le port de Boston, les colons jetaient le thé venatz de l’Angleterre dans l’eau). L’indépendance sera déclarée le 4 juillet 1776 et reconnue en 1783.

C’est la première fois qu’on peut créer un Etat à partir de rien. Les treize colonies seront réunies ensemble sous un régime confédéral où le gouvernement fédéral ne s’occupe que du minimum (avec un pouvoir minimal en haut).

On se met d’accord sur un certain nombre de droits devant être garantis aux citoyens.

Texte 19 : les droits individuels opposés à l’arbitraire du pouvoir ; le peuple détient l’autorité fondamentale ; but du gouvernement : pour le bien commun du peuple ; interdiction de la noblesse et de tout privilège ce qui implique l’égalité absolue des citoyens ; affirmation de la séparation des pouvoirs ; liberté de la presse et du culte.

La révolution américaine va inspirer d’autres révolutions reprenant les mêmes principes par exemple dans les Provinces-Unies, en Suisse et également la Révolution brabançonne ce qui est néanmoins paradoxale puisque la Révolution brabançonne voulait revenir en arrière, à Marie-Thérèse mais elle utilise le même vocabulaire.

La Révolution américaine est progressiste. La Révolution Française s’inspirera également de cette révolution.

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