Menu

Filtrer les éléments par date : juillet 2014

La monarchie constitutionnelle anglaise

- La Glorieuse Révolution p.149

Richard Cromwell perd le pouvoir en 1660. L’armée rappelle le fils de Charles Ier, Charles II et on restaure ainsi la dynastie des Stuart. Charles II est le cousin germain de Louis XIV auquel il s’inspirera pour la monarchie absolue et il vécu un certain temps en France.

Il a eu des contacts avec les catholiques et il est au moins enclin à une certaine tolérance envers eux. Charles II va avoir certains problèmes avec le parlement.

Il y a une loi importante votée sous son règne : en 1679, la loi de l’Habeas Corpus.

La situation va s’aggraver lors de la succession par Jacques II, son frère qui est ouvertement catholique. On le sait, avant qu’il monte sur le trône.

Il a des conseillers catholiques et va tout faire pour les généraux catholiques. L’ambiance monte de plus en plus pour déborder lorsqu’il décide de baptiser l’héritier mâle du trône ce qui veut dire que le prochain souverain sera catholique.

Le Parlement entre en rébellion et appelle pour la légitimité la fille de Jacques II, qui va renverser son père pour prendre sa place. Elle est protestante et marié à Guillaume d’Orange, stathouder des Provinces-Unies. Marie II Stuart accède au trône le 13 février 1689.

C’est la Glorieuse Révolution. Ils ne doivent pas signer quoique ce soit, on leur a juste lu la Bill of Rights (la Déclaration des Droits).

On ne leur demande pas ce qu’ils en pensent mais ils connaissent désormais les conditions auxquelles ils doivent se soumettre. Texte 17 avec le consentement du Parlement. C’est le début du système parlementaire. Le roi règne mais gouverne de moins en moins.

John Locke Texte 18 le peuple doit avoir le droit de résistance contre l’arbitraire du pouvoir. Le but des lois est la protection contre l’arbitraire de la monarchie et la protection de la propriété privée.

Il y avait des élections (mais elles étaient souvent truqués: il n’y a pas tout le monde qui avait le droit de vote ; ceux qui l’avaient, on les faisait boire pour qu’ils votent pour tel ou tel candidat ; il y avait aussi de grandes inégalités entre les circonscriptions.

En 1707 est crée l’United Kingdom (le Royaume-Uni) qui est une unification complète de l’Angleterre, de l’Ecosse et de l’Irlande.

En savoir plus...

Le recul des Ottomans

Le point culminant de l’Empire ottoman a été au 16e siècle avec le premier siège de Vienne par les Ottomans.

En 1683 a lieu le deuxième échec du siège de Vienne et à partir de là, il y a un recul véritable. En 1686, ils perdent la Hongrie. En 1688, ils reculent à Belgrade et en 1718, on leur enlève presque tous les Etats yougoslaves, européens.

En savoir plus...

La Russie sous Pierre le Grand et Catherine II

Pierre le Grand vivait à l’époque de Louis XIV et il va faire occidentaliser la Russie.

Il crée une nouvelle capitale Saint Petersbourg en 1703, dans le style néoclassique de l’époque et de toute pièce par sa volonté.

Le gouvernement sera centralisé et il pratique une politique économique de type colbertiste en encourageant l’activité économique et la modernisation.

Il va même faire venir des ingénieurs et a travaillé (au moment où il était déjà empereur) sur le chantier naval à Amsterdam pour voir comment ça marche. Pierre le Grand peut être comparé aux despotes éclairés. Il veut contrôler l’Eglise orthodoxe et la soumettre au pouvoir.

Du côté militaire, il est un grand combattant redonnant à la Russie un accès à la Baltique, gagnant contre Charles XII, roi de Suède qui perdra tout face à la Russie.

Catherine II était une Allemande appelé Sophie qui a pris le nom de Catherine en devenant impératrice pour faire plaisir aux Russes. Pour cela, elle a même appris le russe. Elle était mariée avec le futur empereur Pierre III mais celui-ci ne sera empereur que pendant un court temps puisque Catherine va le faire assassiner pour pouvoir régner toute seule.

Mais il faut dire que c’était un ivrogne brutale, infantile et incompétent. Elle n’a pas eu de problème avec les Russes même si elle était une étrangère ayant assassiné l’héritier légitime du trône.

Elle était très bien acceptée, jamais elle a été remise en cause. Elle a su donner une image moderne à son pays.

Elle a pratiqué le même type de politique (centralisation du pouvoir et développement économique). Elle accueille les 800 000 colons allemands pour développer la région. Elle correspond avec Voltaire et Diderot et en 1778, elle achète la bibliothèque de Voltaire (lorsqu’il était mort) et celle de Diderot lors de son vivant en lui payant une rente. Diderot ne possédait pas les mêmes moyens pour vivre que Voltaire.

Diderot a eu un contact personnel avec l’impératrice. Il s’est rendu à Saint Petersbourg (c’était l’un des ses seuls voyages) et il y reste plusieurs mois, la voyant tous les jours.

Elle semble avoir utilisé la notoriété de Diderot et il était un peu déçu. Il ne l’était pas de l’impératrice elle-même mais plutôt parce qu’elle était impuissante d’imposer des réformes éclairées dans un pays arriéré. Du point de vue social, le servage existe toujours et elle utilise des centaines de milliers d’âme pour récompenser les nobles en les leur donnant comme serfs.

Il a aussi été déçu de sa politique militaire, de conquête notamment parce qu’elle a participé au partage de la Pologne en 1772 avec la Prusse et l’Autriche. La Pologne aura disparu en 1796. C’est un peu le cynisme d’une impératrice qui se veut libérale mais qui pratique la même politique que les autres despotes.

Mais elle a quand même développé l’éducation et elle a pratiqué une certaine tolérance envers les différentes religions. Elle a également essayé d’homogénéiser la législation.

Elle a commencé à rédiger un code unique mais elle a fini par abandonner, lassé par la lenteur. Elle était opposée à la Révolution française et adoptait une position réactionnaire, regrettant d’avoir fait confiances aux penseurs des Lumières.

En savoir plus...

Les Pays-Bas autrichiens

Les Pays-Bas autrichiens s’étendent d’Ostende au Luxembourg sans Liège qui a ce moment est une principauté indépendante et qui coupe les Pays-Bas en deux. C’était une confédération de différentes principautés, duchés, comtés etc.

En 1713, ils deviennent autrichiens et Charles VI, le père de Marie-Thérèse règne sur les Pays-Bas jusqu’à 1740.

Les deux personnages principaux envoyés par l’Empereur pour régner à sa place sont le gouverneur général (ou gouvernante puisque ça peut être une femme) qui est un membre de la famille royale.

Il est le véritable représentant sur place comme il prête serment sur toutes les différentes constitutions des différentes provinces des Pays-Bas, aux vieilles traditions,… Mais ce n’est pas lui qui fera le travail journalier.

A côté de lui, il y a un ministre plénipotentier (qui a tous les pouvoirs, une sorte de premier ministre). Un des grands enjeux est de trouver le bon équilibre de centraliser depuis Vienne sans créer des révoltes dans les provinces notamment pour éviter le vote contre les impôts.

Les Pays-Bas sont une région riche, qu’il faut un peu ménager pour pouvoir en tirer beaucoup d’argent. Charles de Lorraine est le gouverneur des Pays-Bas de 1744 à 1780 et le ministre (il y en a eu plusieurs mais le plus important est: ) Charles de Cobenzl de la haute noblesse autrichienne (1753-1770).

Ce ne sont seulement ces deux personnes qui viennent de l’extérieur, tout le gouvernement qui se trouve en dessous est constitué à 99% de sujets locaux.

Entre 1757 et 1783, le chef/président du Conseil privé qui constitue le principal conseil du gouvernement, est Patrice François de Neny (c’est un nom peu à peu francisé), d’origine irlandais (cela montre tout le côté international).

L’oeuvre aux Pays-Bas : développement économique rentable pour les finances, développement de l’hygiène et de l’obstétrique (=science de l’accouchement) : pour éviter la mort des enfants et aussi de la mère, on va faire venir des sages femmes de France, c’est avant tout pour avoir plus de personnes adultes plus tard qui payeront des impôts ; amélioration du réseau routier (pex pavé entre Bruxelles et Luxembourg), creusement de canaux, encouragement financier de l’agriculture flamande et de l’industrie wallonne mais également des nouvelles industries (mines de charbon, industrie de Chimie, de verre parmi les premières en Europe, de métallurgie).

C’est le point fort des Pays-Bas qui est à la fin du 18e siècle, le 2e pays le plus industrialisé de l’Europe. Il aura sous la Révolution Française disparu en tant que tel, il sera devenu un département.

La politique vise aussi l’aspect culturel par exemple en prend en main l’université de Louvais où on va introduire des sciences modernes et l’enseignement de l’histoire dans les années préparatoires.

On va aussi créer une Académie à Bruxelles (en 1769, la société littéraire devenant une académie en 1772). En matière religieuse, une certaine tolérance est présente dans les textes dès 1760. En 1766, Neny considère que les droits des citoyens sont indépendants de toute religion dont l’objet est purement spirituel.

Il considère le citoyen et non le croyant et sépare les affaires temporelles des affaires spirituelles (neutralité envers la religion).

Toutefois, le catholicisme va rester la religion d’Etat. Une certaine tolérance de fait règne sur la différence des religions notamment dans le Hainaut. Il n’y a pas de problème avec les Juifs comme il n’y a qu’une centaine de familles.

Ils sont acceptés à la seule condition qu’ils paient une taxe qui généralement est très haute comme les Juifs sont souvent dans le milieu des finances. Du moment où ils paient leur taxe, ils peuvent faire leur commerce. C’est bien sûr une tolérance purement pratique.

En 1781, un Edit de Tolérance pour tous les protestants, orthodoxes et juifs dans les régions de l’Empire est publié.

On fait une différence entre protestants et juifs comme les uns sont toujours de la religion chrétienne. En 1784, les mariages des protestants sont reconnus légalement ; ils ont la possibilité d’acquérir des droits civiques.

Avant, les mariages des protestants n’étaient pas reconnus. Les seuls documents légales étaient ceux de l’Eglise catholique ce qui impliquait que les enfants des protestants étaient des bâtards.

En plus, les protestants n’avaient pas de documents légaux concernant leur naissance ce qui pouvait constituer des problèmes en justice. En 1784, on crée le futur Etat civil.

Des officiers publics vont enregistrer les mariages et les naissances du côté protestant ce qui va leur donner des droits importants. Dans la plupart des pays jusqu’à la Révolution française, les registres étaient tenus par les curés catholiques.

(Sous Marie-Thérèse, il y avait environ 1% de protestants parmi la population belge qui vivaient à la frontière française. Il y avait une grande communauté protestante autour des forteresses qui avaient accès aux services protestants ???)

En savoir plus...

Les Habsbourg : Marie-Thérèse et Joseph II

Marie-Thérèse (1740-1780) et son fils Joseph II (1780-1790) ont accès au poste d’empereur qui constitue un titre supranational et il y a aussi des Etats qui leur appartiennent personnellement : l’Autriche actuelle, la République tchèque actuelle appelé à l’époque Bohême, la Hongrie de l’époque (actuellement Hongrie, Slovaquie, une partie de la Pologne, de la Croatie, de la Roumanie), à partir de 1713 les Pays-Bas, à partir de 1725, le Milanais et à partir de 1735, la Toscane.

C’est un Etat multinationale extrêmement étendu avec des problèmes de communication où les nouvelles circulent lentement et qui est donc difficile à gérer.

A partir de 1749, le chancelier (sorte de premier ministre) Kaunitz est à la tête du gouvernement jusqu’en 1792 (même si on l’écoutait de moins en moins sous Joseph II).

Kaunitz et Marie-Thérèse sont d’accord sur la centralisation à la Louis XIV, l’homogénéisation des lois mais cela ne se fera pas d’un jour à l’autre notamment à cause des traditions différentes des Etats.

Marie-Thérèse développe l’économie en favorisant les nouvelles industries, l’agriculture et elle pratique une politique « régalienne » c’est-à-dire qu’elle est contre les empiètements de l’Eglise catholique.

Elle défend les droits de l’Etat. Même si elle est catholique, les lois de l’Eglise ne s’appliquent pas tout de suite dans son Etat car il faut d’abord le consentement de l’Etat. C’est le placet (le plaisir de l’impératrice) c’est-à-dire l’accord du souverain.

La Lombardie, dans l’Italie du Nord, va servir de laboratoire où on fait des expériences avant de les appliquer dans les autres régions. Il y a par exemple le premier ministère de l’économie « giunta economale » (=conseil de l’économie avec des spécialistes) en 1767.

En 1769, Marie-Thérèse, très bigote et catholique, décide de fermer les couvents pour en faire des écoles.

Il faut développer l’éducation et il faut faire des monastères quelque chose d’utile. Les moines ne sont pas renvoyés, ils sont seulement déplacés vers d’autres monastères ou ils peuvent enseigner dans les écoles.

Joseph II règne avec elle pendant 15 ans, de 1765 à 1780, en coempereur puisque son père, qui ne gouvernait pas, est mort. Il a donc pris la place de son père aux côtés de sa mère, qui était l’héritière du pouvoir. Il était l’aînée de 13 enfants dont fait partie Marie Antoinette.

Marie-Thérèse et Joseph II ne s’entendent pas toujours très bien. Joseph II a un caractère très direct et est parfois brutal.

Pendant que chez Marie-Thérèse, on respecte les traditions avec toutes les formules de politesses dans les lois et les décrets, on va chez Joseph II directement à l’essentiel. Il est ultramoderne et a un esprit pragmatique. Il n’aime pas le décorum de l’ancien régime.

En savoir plus...

La Prusse de Fréderic II

Fréderic II de Prusse (1740-1786) est au départ un despote très autoritaire qui veut acquérir des revenus les plus importants possibles avec pour but essentiel d’agrandir son armée et son territoire par les conquêtes. Il est en principe protestant.

Pour faire rentrer de l’argent, il fait coloniser des terres à l’Est de la Prusse, près de la Russie peu peuplé (Pologne du Nord d’aujourd’hui). Il fait venir 300 000 colons volontaires pour peupler les territoires avec des réductions importants notamment concernant les impôts.

Il développe les banques, les industries nouvelles notamment grâce à des subventions, les réseaux de route. Ceci constitue l’aspect louis-quatorzien despotique et visant l’efficacité.

L’aspect éclairé : il est depuis sa jeunesse un grand admirateur de Voltaire notamment le poète. Il va entrer en contact avec lui et il va l’inviter à Berlin avant tout pour lui donner des cours de français. Il est très fier d’avoir ce grand personnage autour de lui.

Il relance l’Académie de Berlin où vont s’installer un certain nombre de Français (il y avait seulement 1/3 d’Allemands à l’Académie de Berlin). Il crée l’école obligatoire jusqu’à 13 ans ce qui était révolutionnaire pour l’époque. Il fallait au moins pouvoir lire et écrire.

D’un point de vue judiciaire, il proclame pour la première fois l’égalité de tous devant la loi (y compris la noblesse et le clergé) et proclame également la suppression de la torture (Fréderic était le premier à la faire notamment parce que son ami de jeunesse a été torturé à mort dans la cour du château avec obligation pour Fréderic II de regarder ; N.B. : Fréderic II était homosexuel).

Guiseppe Bécaria dont Fréderic II soutenait les écrits, publie en 1764 Des délits et des peines, un texte qui déclare que les délits des criminels sont commis contre la société et non contre Dieu et que c’est donc la société qui doit s’en occuper. Pour la première fois est envisagée dans ce texte la réinsertion des criminels dans la société après la prison.

La tolérance de Fréderic II va bien au-delà de la tolérance en Angleterre puisqu’il n’y a jamais eu aucune législation sur la tolérance sous Fréderic II. Si aucune législation n’existe sur la religion, cela veut dire que toutes les religions sont acceptées.

Il accepte les catholiques, tous les courants du protestantisme et même les juifs. Tout ce qu’il demande c’est qu’il ne fasse pas la propagande contre lui et pour leur religion.

En 1773, il se fait un plaisir d’accueillir les jésuites chez lui pour montrer aux autres souverains qu’il est beaucoup plus tolérant. C’est aussi la première fois qu’une place importante est accordée aux juifs dans l’appareil culturel de l’Etat.

Il y a des juifs qui ont eu des succès énormes par exemple le dramaturge Lessing, notamment avec son Nathan der Weise (le Sage) (1779) consacré à la tolérance entre les grandes religions (christianisme, judaïsme, islam).

En savoir plus...

Le despotisme éclairé

Définition

Louis XIV inspire les despotes éclairés de par son gouvernement moderne et efficace mais il n’est pas un despote éclairé lui-même (par exemple révocation de l’édit de Nantes)!! Les despotes éclairés sont à la fois inspirés par le modèle louis-quatorzien d’administration et influencés par la philosophie des Lumières et ils vont en faire une alliance pour régner.

Le despotisme éclairé ne touche ni la France, ni l’Angleterre, ni les Provinces-Unies. Il touche avant tout l’Europe du Nord, du Sud et centrale/orientale. Les grands exemples de souverains éclairés sont :

En savoir plus...

Le déclin espagnol

L’Espagne va connaître deux pertes de territoires importantes : en 1713, nos régions c’est-à-dire les Pays-Bas (Bruxelles, ¾ de la Belgique sauf Liège qui est à ce moment une principauté indépendante) qui deviennent autrichiens et vont le rester jusqu’en 1794.

Deuxième perte importante est le Milanais et la Lombardie (Nord de l’Italie) en 1725 également à l’Autriche.

Ces deux régions sont parmi les plus riches de l’époque et constituent donc des territoires importants.

En savoir plus...

L’Europe française

L’Europe est alors française comme c’est la langue parlée dans les cours royales, par les aristocrates, les bourgeois et les intellectuels. Les ouvrages publiés en français peuvent être lus partout.

C’est aussi un modèle culturel notamment avec Versailles qui constitue le modèle le plus copié mais souvent, dans les constructions il y a des variations adapté au pays.

Elle donne aussi le modèle du mécénat mais même si le mécénat développe l’art, il domestique aussi les artistes. Texte 16 destiné à son successeur, témoigne d’un égocentrisme inouï. Il y témoigne vraiment de son conviction d’être le roi soleil.

En savoir plus...

L’absolutisme louis-quatorzien

Louis XIV qui règne de 1660 à 1715, a un des plus longs règnes. Son gouvernement est centralisé et autoritaire et c’est la première fois qu’est mis en place un gouvernement structuré avec 4 conseils spécialisés.

Les intendants sont envoyés systématiquement dans toutes les provinces et Louis XIV exprime sa volonté de rationaliser notamment par la codification et l’uniformisation de la législation.

La puissance militaire de la France devient permanente avec 200 000 à 300 000 de soldats mis en place.

Pendant la guerre, il y en a encore plus. La France de Louis XIV sera la principale puissance militaire.

Louis XIV a plus perdu que gagné mais il a notamment ajouté à la France la Picardie (pris au Pays-Bas), l’Alsace, le Franche-Comté.

En savoir plus...
S'abonner à ce flux RSS

Besoin d’avis?

Demandez maintenant un examen gratuit et sans engagement de votre site web.
Nous faisons un examen élaboré, et nous effectuons un rapport SEO avec des conseils
pour l’amélioration, la trouvabilité et la conversion de votre site web.

Audit SEO