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Filtrer les éléments par date : juin 2014

Dépistage

Tout d’abord, il faut savoir que l’efficacité (capacité à atteindre un objectif) est différente de l’efficience (efficacité au moindre coût). Une personne qui a un mal de tête à cause d’un rhume peut dépenser des centaines d’euro pour obtenir le meilleur neurologue du pays ; mais il lui aurait été plus favorable d’aller chez un généraliste qui aurait été moins cher et qui aurait guéri son rhume et son mal de tête. De plus, la maladie n’est qu’une partie d’un processus. Il faut savoir que la procédure de diagnostic parfait n’existe pas et que l’efficacité d’une stratégie est toujours relative. Le dépistage d’une maladie doit se concevoir dans une logique de santé publique.

Si on se base sur le modèle de l’histoire naturelle de la maladie, le point critique (point du non-retour) se trouve entre le début d’une anomalie reconnaissable (apparition des symptômes de la maladie) et le moment habituel du diagnostic qui est le stade clinique précoce. Pour une maladie curable, si on fait un traitement après le point X, il n’y aura plus de réversibilité du processus pathologique. Si une personne a un infarctus, ça ne sert à rien d’essayer de déboucher l’artère parce que le muscle ne se dénécrose pas. Pour une maladie entrainant une invalidité, le traitement après le point X ne pourra plus revenir en arrière ; comme le risque qu’a un diabétique d’avoir la cécité. Pour une maladie chronique, le traitement après le point X ne procure pas un ralentissement de l’évolution, ce qui signifie que la maladie continue toujours à évoluer.

Pour certaines maladies, le point critique se trouve entre le début du processus pathologique et le premier test de dépistage possible. Pour les personnes atteintes de ces maladies, le dépistage ne sert pas à grand-chose parce qu’il s’agit d’une maladie incurable, sauf pour éviter les contaminations ou pour prévenir de la mort du patient. Pour d’autres maladies, le point critique se trouve entre le moment habituel du diagnostic et l’issue finale. Les malades gaspilleront beaucoup d’argent pour un résultat qui est le même qui s’ils n’avaient fait aucun dépistage.

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Dynamique d’évolution de la santé au niveau individue l

L’histoire naturelle de la maladie commence par le fait que la personne a été en contact avec un ou plusieurs facteurs de risque (initiation du processus étiologique) ; la phase d’induction peut faire en sorte d’apporter la prévention primaire en mettant en place une série de politique afin d’éviter d’être en contact avec d’autres facteurs de risque. Puis par un stade pré-clinique (initiation du processus pathologique). La phase promotion apportera la prévention secondaire qui est le dépistage. Ensuite, il y a le stade clinique précoce (manifestation clinique de la maladie). La phase d’expression de la maladie mettra en place la prévention tertiaire qui fera en sorte d’éviter les séquelles de la maladie. L’issue finale de la maladie, qui est le stade clinique tardif, amènera à une déficience, une incapacité, un handicap, la guérison ou la mort.

La santé se développe tout au court de la vie. La manière dont la santé se développe peut être représenté par des trajectoires de vie. Au fur et à mesure qu’une personne grandit, elle arrive à un moment donné au top de ses capacités fonctionnelles, puis ses capacités se mettent à diminuer, ce qu’on appelle la période sensible-critique. Les médecins font en sortes que les facteurs de risque et de protection diminuent le moins vite possible grâce au bagage génétique, car ce qui se passe de génération en génération influence la personne (question sociale). Mais aussi grâce au contexte et aux interactions avec d’autres personnes qui ont une importance variable en fonction de la période de vie.

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Diagnostic et conséquences sur la relation médecin-patient

- Morbidité réelle : la plus grande majorité des personnes étant vraiment malade sont non couvert (pas accès aux soins de santé) et non ressentis (présence de la maladie mais le malade n’est pas conscient de l’existence de cette dernière). Ces personnes ne vont jamais chez le médecin. Il s’agit souvent des personnes les plus défavorisées.

- Morbidité ressentie : Ce sont des personnes qui sont couverts et ont ressenti la maladie (présence des symptômes)

- Morbidité diagnostiquable : il s’agit de personnes non couvertes mais ressenties. La personne est malade mais ne va pas nécessairement chez le médecin, car elle a su diagnostiquer seule sa maladie (ex : bronchite, rhume)

- Morbidité diagnostiquée : il s’agit de personnes couvertes mais qui sont non ressenties. Il suffit qu’à un moment donné, il pense à faire une prise de sang afin de vérifier que tout aille bien pour qu’ils découvrent qu’ils sont malades.

· Avoir la capacité fonctionnelle de vivre de manière satisfaisante

Une personne âgée est considérée comme étant en bonne santé si elle continue toujours à être capable de continuer ses activités de la vie quotidienne, qu’elle est capable de bouger, qu’elle a toujours ses fonctions mentales, qu’elle sait communiquer et qu’elle continue ses activités instrumentales de la vie domestique. Si la personne âgée (PAgée) a une maladie chronique, elle perdra son autonomie. Ce qui engendra la perte de certaines activités => malade.

Il y a une interconnections entre handicap, co-morbidité (maladie chronique) et fragilité. L’handicap ou la dépendance est l’ensemble des conséquences des maladies qui entraine comme désavantage pour la vie quotidienne de la PAgée de ne pas pouvoir être autonome.

Cependant, l’autonomie se rapporte à une liberté de choix. Même si la personne handicapée nécessite l’aide d’un tiers, elle a toujours le choix de son mode de vie, son lieu de vie … Elle a toujours une certaine autonomie.

L’activité de la PAgée est au centre de la santé, elle influence plusieurs points qui la rendront comme étant malade. Lorsqu’elle ne sait plus faire ses activités, c’est qu’elle a des problèmes de santé. Ces problèmes de santé vont émettre des modifications dans les fonctions organiques et les structures anatomiques mais va aussi faire en sorte d’apporter l’incapacité de la participation dans la société. Ce qui détermine sa santé est les facteurs environnementaux et les facteurs personnels. Elle aura donc besoin de soins médicaux pour guérir ses maladies, d’un appui aux auto-soins pour son autonomie et un appui à la vie journalière pour son manque de capacités fonctionnelles. (modèle ICF)

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D’une approche réductionniste à une approche globale de la santé

Être en bonne santé c’est

· Ne pas être mort

Au 19e siècle, tous ceux qui ne mourraient pas du choléra étaient considérés comme étant en bonne santé. Aujourd’hui, tous ceux qui n’ont pas de maladies cardiovasculaires sont considérés comme étant en bonne santé.

! Standardisation possible et nécessaire en cas de SCA (syndrome coronaire aigu) mais prise en compte d’un double risque => hémorragie et ischémie (le muscle se nécrose).

· Ne pas être malade

La maladie est un processus biologique anormal explicable et classifiable en fonction de ses causes et mécanismes (ex : grippe, gastro-entérite, diabète de type II).

· Ne pas souffrir

Un problème de santé est une souffrance actuelle ou potentielle (être malade sans le savoir

-> apparition d’aucuns symptômes ; mais à terme, il peut avoir des conséquences très importantes) qui résulte d’un processus perturbant l’état de santé et provoquant un état de mal-être individuel ou collectif.

 Va au-delà du biologique, introduit le concept de souffrance et la dimension collective.

Un problème de santé peut être du a un ensemble de symptômes, un syndrome, un ensemble de facteurs de risque, des conditions de vie, une dysfonction, une invalidité, un handicap, une maladie avec ou sans diagnostic, un mal-être, etc.

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Épidémiologie et santé publique

· Santé publique

La discipline médicale (médecin, dentiste) a comme champs d’intérêt à trouver un ensemble d’interventions qui permettra de promouvoir, maintenir (ex : vivre avec l’handicape, la vieillesse), rétablir la santé au niveau individuel et populationnel.

La discipline scientifique recherche une approche globale, rationnelle et participative (comment les gens interagissent, comment faire en sorte qu’ils soient conscient qu’ils peuvent maintenir la santé). Elle veille à mettre en place des méthodes épidémiologiques, opérationnelles, de sciences sociales dans le cadre pluridisciplinaire. Elle est d’avantage orientée vers l’analyse de système de santé et la formalisation des problèmes complexes au travers de modélisation (simplification de la réalité).

· Épidémiologie

L’épidémiologie est l’étude des états et des phénomènes (ou évènements) de santé au niveau de la population définies par la distribution (quantification des choses) et des déterminants (approche analytique). Application de cette étude au contrôle de problème de santé (lien à l’action).

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RAYONNEMENTS IONISANTS : applications médicales et conclusions

Enfants plus sensibles que les adultes aux cancers radio-induits . Irradiation naturelle annuellement. Irradiation naturelle qui pour un bon tierce des cas est secondaires à un gaz dans le sous sol le Radon qui vaut évacuer par la ventilations des habitations. Il y a d’autres sources les isotopes du sol, les radiations du soleil, radiations internes, les retombées des industries nucléaires. On peut décliner la dose reçu par un patient en équivalent d’irradiations naturelles. 2mS par an (cf tableau). En altitude les gens ont 50% naturelles en plus 3mS par an. Régions dans le monde plus irradiées 10mS annuellement. Faibles doses pas dangereuse et on pense que ces populations ont des mécanismes génétiques adaptées.

IMAGERIE MORPHOLOGIQUE

En radiologie on une source d’irradiation EXTERNE au patient c’est un faisceau de rayons X et instantané. Quand on coupe le courant il n’y a pas d’irradiation et le patient n’est pas irradiant pour son environnement. Faisceau X pas très vieux.

Premières radio ou on voit que ca traverse le corps mais pas de précision. Imagerie fonctionnelle ou métabolique ou patient ingère inhale un isotope radioactif, traceur interne il y a bien contamination du patient. Ce patient est contaminant pour son environnement sur une certaine durée (1/2 vie de l’isotope)

Quand on fait une radio on a la simple image de différence d’absorbation, traverse la peau , un muscle, le coeur, un os. Il y a quartes densités fondamentales pas plus, on peut augmenter la visibilité qui va absorber ce faisceau de photons, faire boire un produit injecter .... qui va absorber le rayon X.

Tissus mou du corps C H O N (muscles, coeur, vaisseaux, cerveau) légers Os Ca P (plus lourds plus absorbants)

I Ba (iode barium qu’on injecte dans la veine qui va dans les faisceau absorbé les faisceau de X qui vont être révélé lors de scanners. )Ce vaisseau va être distinguable du muscle voisin.

Plomb protège les radiologues qui sont pas loin du radiologue, tablier plombés, colliers plombés, lunettes....

Préservatifs rayon X tengeant aux surface des liquide plus lourd mercure au plus léger l’air, on peut décliner les quatres densités radiologiques, du plus opaque. Eau arrête le faisceau de X. Plaque noir car on a exposé d’avantage le film. Densité révélé, comme corps humain faisceau différents avec densités différentes (on ne peut pas distinguer un vaisseaux dans un muscle.

Plongé préservatif dans l’eau. Mileu avec même densité donc on ne voit pas la différence.

Imagerie radiologique basée sur cette échelle de densité, c’est l’os c’est l’eau c’est la graisse c’est l’air. 4 DENSITES RADIOLOGIQUES Calcium absorbant le muscle densité hydrique aqueuse et à l’extérieur graisse sous cutanée et air autour du bras. Effet biologique des radios, avant prise de connaissance de ces risques il y a des effets secondaires, effets biologiques déterminismes, non déterminismes. Effets déterminismes qui ont un seuil, il faut une certaine dose pour que l’effet apparaisse. L’effet est d’autant plus sévère que la dose va être forte. Ex cigarette : bronchite chronique au dessus d’une certaine dose tout les fumeurs auront une bronchique chronique. Effets biologiques voir sur les DIAS

Greffe médullaire on stérilise la moelle grâce à des radiations ionisantes Cataracte, limité les doses au niveau du cristallin. Effets sur la moelle osseuse ont peut doser le taux de lymphocytes circulants . On peut déterminer la dose à laquelle il a été irradié grâce à la chute de lymphocytes. CAS DE FORTES DOSES PAS IMAGERIE

Cardiologues guident avec rayons X, là ou été le faisceau à brulé la peau visible chez la femme suite à l’action des radiations ionisantes sur la peau cutanée. Interventions guidées on trouve effets déterminisme .

Autre patient avec procédure cardiaque il a marqué sur la peau, cratère à perdu son revêtement cutané et sous cutané au 21eme siècle. PRUDENCE Dentiste à des lésions de radiodermites chroniques, stries sur l’ongle du à des brulures. Répétition au même endroit de faibles doses.

On sait par radiothérapie, on veut tuer les cellules on veut donner une dose bien déterminée.

Radiologie travail au mmgrey. Il faut a faible dose pensée qu’il y a un effet biologique potentiel même si il n’est pas observable cliniquement et dans la vie du patient. Les effets biologiques se font sentir. Inconnue sur les très faibles doses, principes de précautions.

On légifère pas pour les effets déterminismes à très fortes doses qui ne sont pas observables. DIA.

Effet différents selon les gens. Cancers radio induit, modification du patrimoine génétique. Modification au niveau des gonades. Si on augmente se bassin de mutations dans une population on augmente le risque de mutations.

Ex : cigarettes effet non déterminisme cancers pulmonaire. 20 ans 1 paquet par jours pas d’effet alors que d’autre pour moins on un effet. Une fois le cancer là il est là.

Pour l’imagerie diagnostiques très faibles doses donc on veut éviter cela, surtout chez les enfants qui sont plus sensibles. Plus on vieillit moins on a de risque de développer des cancers

ALARAH essaye de répondre à un clinicien : Réponse en essayant de maintenir le niveau d’exposition du patient à un même niveau. Radio pour le benefisme du bébé.

A ce principe se rajoute le principe de JUSTIFICATION, il faut une question, une bénéfisme pour le patient. Qu’il ait pneumo ou non il faut pas faire de radio c’est inutile, il faut réfléchir si le patient a vraiment besoin d’examens qui ont des risques. Bébé peut avoir radio à 6mois et plus tard d’autres examens IL FAUT ETRE ECONOM’. « je veux savoir si mon patient à ça « Ex pour diagnostiquer les pieds plats pas obligé de faire une radio sauf si douloureux.

OPTIMISATION, delivré le minimum de dose

Une étude européenne à montré chez l’enfant groupe de 5 ans pour 1 cliché du thorax certains donnent 19 et d’autres 1347 pour le même cliché. Selon endroit X à endroit Y 70 fois la dose. On va essayer de legiféré pour que les pratiques entre les radiologues soient plus homologues. Pour diminuer les risques ont peut

- filtrer le faisceau (diminue irradiation du patient)

- collimation on veut les poumons on regarde QUE LES POUMONS ce centrer sur la zone d’intérêt via volets, dispositifs plombés.

- Grille anti-diffusé quand un faisceau traverse un organisme il va y avoir un rayonnement diffusé. Partent dans direction aléatoire. Grille élément plombé qui laissent passer seulement les faisceau rectiligne mais augment l’épaisseur entre l’émission et la réception il faut donner plus de jus car absorbé en partie par la grille. On donne plus de radiation. Améliore la qualité de l’image mais mauvais en thermes de protection radiologique.

Difficulté alimentaires à 5 mois : PBM cardiaque, le coeur est énorme il prend les deux tiers du thorax, se présente très gros. Opération médicaments. On peut aussi voir vascularisation du poumon. Bras immobile : fracture de l’humérus, suspicion de choses pas claires donc radiographie aux extrémités des os métaphyses. Plus lésions aux niveaux des métaphyses MAL TRAITANCE traumatisme non accidentel. Seul radiographies peut montrer cela. (rotule petit trou et au niveau de la cheville petit angle).

Le SCANNER

Déviation à la colonne scoliose, cliché fusion des arcs ant des vertèbres. Il faut du détail donc il faut un scanner, beaucoup plus irradient. Scann du bébé dans sa mère ne se fait plus. Nains ? Scanner volume de l’utérus et on a des images du squelette du foetus . Petite taille 1m35 1m40 . Le scanner va voir une anomalie d’une vertèbre une hemivertebre qui va donner une malformation déformation de la colonne. Image in utero (ventre de la mère). Scanner tube qui tourne, dose de manière uniforme concentré dans le patient. IL FAUT SAVOIR CE QUE L’ON CHERCHE

Le scanner est lourd en terme d’irradiation, 95% des actes n’étaient pas des scanner et 5% restant sont des scanners. Faible proportion d’examen mais en terme d’irradiation délivré délivre plus d’1/3 de la dose au patient une pratique discrète va donner une dose plus importante. Chez l’enfant malheureusement le scanner est de plus en plus utilisé (STATS)

Radio 5mS - Scan 8mS Un scann des poumons 400 clichés thoracique raidos simples. Scanner forte DOSE Des 1Oms on voit une augmentation du risque de développé un cancers radio induit.

JUSTIFIER AVANT DE LE FAIRE

Scan thorax abdomen, colonne ce ne sont plus es mois d’irradiations naturelles comme les radios simple mais des années.

TOUCHE PAR NUCLEAIRE

Patient porteur d’un isotope,

Jeune avec scoliose on ne voit pas sur la radio il faut voir si il n’y a pas une lésion d’un vertèbre qui donne cette douleur. On a injecté du technétium marqué isotope radioactifs, se fixe sur l’os on a une image moins précise et on a un point précis donc scanner centré sur la liaison. On y voit une tumeur avec un lot et un centre plus dos un osteo ostoine.

PET on injecte du glucose marqué

CT scanner image corps entier pour voir si métastases Co registration on mixte les images. Graisse brune marqué par le glucose, scanner à très base dose (image flou) quand on superpose on peut dire ou se trouve l’anomalie. Grace au scanner on peut dire ou est le spot dans quel organe. Le couplage de deux disciplines.

CONCLUSION

Diminuer la dose au minimum par une série d’artifices

Esprit critique par rapport

On peut se tromper pas avoir vue la chose importante. Tout écrire pour radiologue qui a peut être oublié quelque chose donc ESPRIT CRITIQUE PUB corps d’une femme nue qui plonge dans le verre si eau ressort on voit un homme.

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Médecine occidentale et orientale

Parvenu à des sommets en matière de progrès scientifiques, le mode de pensée de médecine occidentale a bien du mal à accepter les autres formes de médecine. Or, elle aussi possède ses frontières, même si elle n’arrive pas toujours à admettre ses propres limites… Limites dans lesquelles elle s’est renfermée d’ailleurs : de plus en plus fragmentée, de plus en plus chère, elle n’est plus aussi accessible à toutes les couches de la population qu’avant. En outre, les connaissances en matière populaires sont en chute libre, il n’y a plus de lien entre la maladie et le contexte de vie, les gens sont devenus dépendants de médicaments aux effets secondaires dévastateurs… Peut-être serait-il temps de songer à briser ces chaines entourant les territoires des savoirs et des institutions, de travailler ensemble afin d’être « en confluence plutôt qu’en concurrence », et de trouver des solutions plus efficaces pour guérir au mieux les malades actuels.

Avant, l’ethnomédecine était définie comme la médecine des peuples traditionnels. Mais aujourd’hui, elle se définit plutôt comme la médecine traditionnelle des peuples. Cette évolution dans la pensée permet donc de détrôner la médecine occidentale de la place centrale et universelle qu’elle s’était attribuée, et de la qualifier désormais comme l’expression d’une civilisation parmi tant d’autres. En effet, avec la cohabitation des techniques, s’impose un nouveau dialogue entre l’Occident et l’Orient dans la mondialisation actuelle. A ce stade-ci, il s’avère utile de définir la notion de santé selon l’OMS : bien-être physique, relationnel, social et environnemental. Bref, une définition qui inclue différentes facettes essentielles à tout être humain, et ne le réduisant pas qu’à un être vivant dépourvu de toute émotion et pensée. Or, c’est ce à quoi tend le mode de médecine occidentale, avec sa formule de « to cure » : Un soin biomédical visant à lutter contre la maladie, à travers des médicaments et autres traitements où le patient s’avère être passif. Les sciences l’emportent sur l’être humain, devenu terrain de combat entre progrès scientifiques et sa maladie. Le modèle de pensée chinoise traditionnelle nous propose par contre une autre voie : celle du « to care », c’est-à-dire prendre soin du patient comme une entité émotionnelle, pour laquelle il faudrait privilégier l’aspect psychologique, social, environnemental. Dans cette démarche, on aide le patient à surmonter sa maladie. Le malade, encouragé dans ce système où il se prend lui-même en charge, devient ainsi actif dans sa phase de guérison. Ici, on utilise les sciences comme un outil pour l’être humain.

La maladie était considérée dans le monde comme une sanction suite à une rupture d’interdits (nécessaires à l’équilibre de la société). Rester en bonne santé signifiait donc ne pas tomber malade, et le médecin ou guérisseur était une personne sachant faire le lien entre le malade et les forces de la nature : il s’agissait des qualités des hommes-médecines des sociétés traditionnelles. Mais selon la pensée chinoise, la maladie était vue comme une sorte de déséquilibre ou une rupture d’équilibre entre l’organisme et le milieu. Il s’agissait donc de renforcer le terrain pour surmonter la maladie, le déséquilibre et ré-harmoniser le patient avec les forces énergétiques de l’Univers. L’accent a donc toujours été mis chez eux sur la prévention, le maintien d’équilibre émotionnel, l’habitat, le maintien corporel (sport) et charnel (sexe). Un équilibre englobant l’être humain dans toute sa totalité, telle était la vision des Chinois déjà à une époque lointaine. Mais aujourd’hui pourtant, la médecine traditionnelle a souffert d’acculturation car on l’enseigne comme la médecine occidentale. Pour remédier à cela, on tente de réintroduire la philosophie du Tao (métaphysique à retrouver). D’autre part, on tente également de prouver son efficacité avec les méthodes occidentales, car en 2003, alors que la grippe faisait ravage en Chine et que le système occidental n’a pas réussi à l’arrêter, la médecine traditionnelle chinoise a adapté sa stratégie par rapport au terrain et non à la maladie, et avec l’aide du système occidentale, elle a triomphé sur ce fléau qu’était la grippe. L’efficacité de cette complémentarité d’espaces et de mouvements d’une part (MTC) et d’objets et de sujets (système occidental) s’illustre donc bien à travers cet exemple.

Le problème de la médecine occidentale est donc bien d’admettre ses limites dans lesquelles elle s’est enfermée. Elle est de plus en plus fragmentée, de moins en moins accessible car plus chère, les connaissances populaires de soin se dégradent, les liens entre maladie et contexte de vie ne se font plus, l’inefficacité programmée des médicaments et leurs effets secondaires dévastateurs perturbent les gens… D’ailleurs, une étude de l’OMS a montré que le nombre de cancer avait augmenté avec le taux d’industrialisation. Dans le livre « La société cancérigène », les auteurs parviennent à des conclusions surprenantes : un homme sur trois et une femme sur quatre décéderaient du cancer… Il s’agit de réellement conscientiser les médecins des rapports entre maladie et environnement, d’où l’intérêt de mettre en place des formations en santé publique, environnement et société. Selon la MTC, si quelqu’un pollue son environnement, alors il pollue son organisme : on ne peut dire plus vrai…

L’Occident doit donc se faire violence pour mettre son orgueil démesuré et déplacé de côté et arrêter de se prendre pour le centre du monde, source d’où jaillirait « l’Unique et Seule Vérité ». Il faut qu’elle accepte les métaphysiques fondatrices des autres savoirs comme des outils de compréhension du monde, et pouvoir les utiliser afin de combler ses lacunes. A l’image de l’équipe de salle d’opération composée de différents types de médecins mettant leurs savoirs, capacités et efforts respectifs en commun pour réussir à sauver le patient, la pensée médicale occidentale doit elle aussi faire preuve de maturité et faire équipe avec d’autres médecines pour pouvoir guérir et sauver au mieux les malades du monde entier.

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ATPB : Le don d’organe à coeur arrêté

« Médecin urgentiste à Saint Luc »

Don après mort cérébral

Don après mort Cardiaque

Don vivant

Et don de tissus

A commencé en 1954 au début suite à une mort cardiaque, mort cérébral n’existait pas encore elle est arrivé en 1960, le cerveau est mort mais les organes continuent à être bien, conditions de transplantation favorable, meilleurs.

UCL connu pour avoir été pionnière sur de nombreux secteurs de dons d’organes. Le premier dont à coeur battant c’est passé à l’UCL . 30 ans plus tard avec la pénurie des organes on est revenus au don d’organes par mort cardiaque. Le premier don d’organe à coeur arrêté en 2000 à l’UCL. Les reins sont les organes les plus greffés puis le fois. Les tissus sont aussi greffé (tendon, valve ....) on peut greffer de la peau, valve cardiaque, veines, artères....

USA et Europe sont les plus actifs.

Le problème est la discordance entre l’offre et la demande (dia sur les reins dans pays euro-transplant). Belgique euro-transplant. (Fr Angl propre société). De plus en plus de demande de besoin d’être transplanté mais l’offre ne comble pas la demande très importante.

Si discordance et la demande il y aura des décès. Politique est là pour tenter de rééquilibrer l’offre et la demande « pousser les gens à être donneurs à leur mort »

Chaque année il y a une centaine de personnes vont décéder car elles ne peuvent pas être transplanté (tout organes)

L’intérêt est de pouvoir est de combler le problème de la pénurie. Il y a environ 250, 300 donneurs chaque année. (1O millions d’habitants) Ce chiffre est le meilleur chiffre au monde. Meilleur pays ou le taux de transplantation par rapport au nombre d’habitants est le meilleur.

Beaucoup de donneurs (RENTABILITE) organe doit etre efficace d’ou Espagne avec beaucoup de donneurs n’est pas meilleurs. Augmentation d’années en années.

DBD (bleu) stabilité (mort cérébrale) Mais augmentation de DCB (mort cardiaque) cette nouvelle procédure qui avait été abandonné revient et apport réellement son effet dans les dons d’organes. 

QUESTION D’EXAMEN « que dit ce diagramme »

Ces donneurs sont le plus souvent (cause de deces)

-ICB (hémorragie cérébrale)

-Trauma (accidents de voiture)

-Post anoxie (infarctus, réanimé et comme cerveau pas été vascularisé -

ANOXI CEREBRAL)

-Accidents cérébraux

Les donneurs sont de plus en plus âgés. Avant il était dit pas dépasser 60 ans pour la qualité des organes. Mais pénuries et évolution technique.

Age max donnés sur DIA

Donneur de fois : (liver) 90 ans

Don d’organe à coeur arrêté

Exemples :

1) une jeune personne s’écroule au domicile sans prodrome 20min après SMUR arrive après. Aucune rea entre temps. Elle est en asystolie son coeur de bas pas. Rea du SMUR 1h30 après admise aux urgences. 19h futilité de la réanimation, manoeuvre continues. Ensuite on arrête toute manoeuvre on touche plus « No touch » ligne rouge qui permet de faire la transition entre une patiente au dessus et une donneuse d’organe en dessous.

Cette ligne rouge doit durer au moins 2min pour attester de la mort et de son irréversibilité. CANULATION FEMORALE on parle de mort cardiaque irréversible. Mort cérébrale va suivre la mort cardiaque. Mort cérébral arrive après quelques minutes ou le coeur ne bas pas. Chirurgien vont aller préparer la donneuse pour que ces reins puissent être prélevé avant d’entrée en salle d’opération pour transplantation.

2) 5h30 accident de voiture 35 ans longue intervention sur place retour à saint-luc 1h 30 après. Hémorragie cérébral au pharynx .... A 8h30 saignement, instabilité du patient ...... 10h20 arrêt cardiaque début RCP 10h30 RCP dite futile on continue jusqu'à l’arrivée des chirurgiens, début de la canulation fémorale, fin canulation. Ensuite Refus du don d’organe du frère.

Canulation : protection des reins (organe)

Procédure émotionnellement forte

PHOTO : donneur pas patient.

PREPARATION AVANT PRELEVEMENT

Les chirurgiens vont canulé l’artère fémorale et vont y faire monter un cathéter avec deux ballons qu’ils vont gonfler (trois lumières dans le cathéter 2 pour gonfler les ballons et un liquide de protection qui va aller dans les reins dans les artères rénales dans les veines et va se drainer dans la deuxième sonde qui va éliminer le sang et va être seulement liquide de protection du reins.

Timing :

- max deux heures de réanimation

- No Tuch 2 à 5 min

- 2h pour aller en salle d’opération

Deux façon d’être donneur par mort cardiaque

-décès non contrôlé (deux exemples)

Jamais fait au USA

- arrêt cardiaque attendu, aux soins intensifs depuis longtemps, on s’attend au décès, patient soutenu par médicament. On peut contrôler le moment ou tout le monde sera d’accord « on arrête la machine » pour aller vers un don d’organe. Problème réfléchi. Interdit en France

Catégorie 2 : personne décèdent aux urgences. En décès part mort cardiaque de façon non contrôlé, arrête à eu lieu, non contrôlé.

OPPINION SOCIALE INFLUENCE, différence d’un pays à l’autre. Les sociétés on une sensibilité différente.

CADRE LEGISLATIF

Universel

-Le don d’organe doit suivre le décès (doit être constaté par 3 médecins)

- Consentement présumé, si on ne dit rien on est présumé consentent au don d’organes si on doit décéder. Alors que d’en d’autres pays il faut des démarches selecteds.

Quand quelqu’un meurt on doit aller voir si la personne s’était opposée au don d’organe.

Même si la loi l’autorise il y a la demande à la famille. Oui ou Non

Si la personne a été à la commune dire oui je veux on ne demande pas à la famille (nouvelle dia différente des années passée) > Question EXAM

1O millions d’habitants 4OO OOO on fait la démarche à la commune.

C’est cumulatif. Le nombre de personne y allant pour dire non ce nombre n’augmente pas mais les personnes qui viennent dire oui évolue en augmentant alors que les contres ce sont ceux du début. Certains se rétractent. Campagne de sensibilité à marché. D’année en année le nombre de gens d’accords augmente.

Aspects éthiques :

Chirurgiens peuvent être en garde il faut les appeler avant qu’ils soient décédé. Limite de l’un suit l’autre le don suit le décès. Sur un plan éthique n’est pas simple, il faut vite appeler des chirurgiens car qualité des reins diminue. Pour qu’une telle procédure fonctionne il faut un pilier : LA

CONFIANCE.

Il est important pour cela que les familles voient qu’on essaye de sauver leur proche, ils comprennent qu’on a pas mentit qu’on a été au bou des choses.

LE DON DE TISSUS

Fracture extrémité distale du radius, il doit être opéré dans cette opération besoin de tissus osseux. Qui provient d’un donneur décédé.

A 90 ans donneuse de tissus possible. On prélève au niveau du fascia lata au plis de l’aine un tissus qui va transformer la dure mère, pour une opération. La différence entre les dons d’organes et dons de tissus, même règle, a seule chose est que le dons de tissus n’a pas de limite d’age

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ATPB : Bases Physiques de la dialyse

Examen : Laser, Dialyse questions de réflexion ou de restitution. Pour les rayonnements questions à choix multiples déguisées en exercices qui porteront sur la radioactivité (activité, temps de demie vie, période, intensité absorbée lorsque rayonnement traverse une certaine épaisseur de matière). Nb de bonnes réponses non indiqué.

Rappels :

type de déplacement moléculaire dans des solutions. (solvant soluté) trois

type de déplacement moléculaires :

-migration si la molécule se déplace une force lui est appliqué, force ou direction et sens est parfaitement définit. La molécule puisse dans SON énergie interne pour migrer (souvent énergie potentiel qui est transformé en cinétique) ex : migration électrique comme les anions qui vont vers des potentiels positifs. Migration lorsqu’on à un gradient de potentiel.

Un gradient de potentiel donne lui à un mvt d’ions dans la solution.

- convection force appliqué sur les molécules, cette force est définit en direction et sens. L’énergie nescaire est ici apporté de l’extérieur.

Ex : molécule dans le sang se déplace a cause d’un gradient de pression dans le sang. Energie vient du coeur, se gradient de pression est un mvt d’ensembles. (non énergie potentiel transformé)

-diffusion. résulte d’un gradient de concentration et de l’agitation thermique. Ex molécules concentrée dans l’espace, ces molécules lorsque température différente du O absolue elles sont toujours en mouvement. Si température est grande énergie cinétique des molécules est élevé. Comme molécules toutes en mouvement elles vont s’écarter de cette grande concentration vers un lieu ou la concentration est plus faible. Un gradient de concentration donne lieu à un mouvement de molécules.

Pression osmotique résulte de la diffusion à travers une membrane semi perméable. Récipient en deux parties séparé par une membrane semi perméable. Elle ne laisse pas passer les molécules à travers la membrane. Semi car l’eau elle peut passer à travers la membrane. Ce n’est pas un état d’équilibre. Car concentration à droite et à gauche dans ce schéma n’est pas égale. De même pour la concentration d’eau.

Les paroies capillaires dans le corps humain sont des membranes semi- permeable. Ce n’est pas un état d’équilibre car présence d’un gradient de concentration. Le système va avoir tendance a revenir à l’équilibre. On voit que niveau d’eau à droite baisse et augmente à droite. Les molécules doivent rester dans leur compartiment d’origine seule l’eau peut passer la membrane. L’eau va migrer, flux d’eau, de solvant qui va traverser la mb (d’ou monté du liquide)

La pression dans le compartiment 1 est plus élevé que la pression dans le compartiment 2. Ns le nombre de molécules de soluté(quantité de mole de soluté)

Fonction du rein :

Epuration

Hormonale

Les reins participent à l’homéostasie, régulation des différents paramètres (T° corps humain, équilibre volumique quantité de liquide, pression artérielle, équilibre acide base)

Si insuffisance augmentation de toxine et d’eau. Pour cela hémodialyse par convection et diffusion. Dialysat solution tampon. Aussi dialyse péritonéale mais pas de circuit extracorporelle sang reste dans l’orgiasme, la membrane semi perméable est le péritoine du patient. La dernière solution est la greffe du rein (chirurgie lourde et traitement)

HEMODIALYSE : épuration du sang par un circuit extracorporelle.

Accès : cathéter double lumière (deux parties une prélève et l’autre pour le réintroduire). Cathéter semi permanant voie jugulaire interne. Fistule arterioveineuse. Sang vient par artère et retourne par les veines. Les tissus des veines sont flasque les veines peuvent se dilater facilement. Une fistule on va relier une artère à une veine (débit diffèrent). La veine va se dilater et la paroi va durcir (seule avec veine pas avec artères). Attendre que la veine se soit bien dilater (quelques mois). Cette liaison est une ANASTOMOSE. Se fait au niveau du poignet ou du coude. Il faut que les artères et veines soient en bon état. On utilise le bras on va utiliser le bras non dominant.

La main sera beaucoup moins irrigué. Une fistule peut durer plus de 10 ans, il y a peu de risques d’infection.

Complications :

Infection avec cathéter. Si on retire beaucoup d’eau il peut y avoir hyperviscosité. Insuffisance cardiaque.

La circulation extracorporelle. :

Sang entre dans dialyseur (cylindre avec à l’intérieur des milliers de petits capillaires Sang circule dans les capillaires qui eux sont en contact avec le dialysat. Dialysat et sang on un sens contraire. (capillaires sont plongés dans dialysa) On passe par le piège à bulles et on renvoie le sang.

Eau purifié, ajout de sel minéraux et bicarbonate. Quand il ressort le dialysat est chargé des déchets qui étaient dans le sang qu’on veut, cherche à éliminer. Dialysat contient eau très pure et sels minéraux (potassium, calcium). Les sel qu’on ajoutent dépendent de ce qu’on veut éliminer du sang.(circulation D vers G) Débit dialysat 300ml/min et dialyse 500ml/min.

Ultrafiltration est l’élimination de liquide traverse la mb et va se rajouter au dialysat.

Dialyse : diffusion de soluté.

On a un gradient de pression hydrostatique. Pression à l’intérieur du capillaire est plus élevé qu’a l’extérieur donc l’eau aura tendance à quitter le capillaire. Celui ci va donner lieu à une convection qui va donner lieu à

l’ultrafiltration (élimination du sang) et dialyse car cette eau qui quitte le capillaire entraine aussi des petites molécules.

Il faut contrôler cette dialyse et tout va dépendre de la pression transmbR PTM.

PTM pression hydrostatique moyenne –pression oncotique (pression osmotique du aux protéines du plasma) La pression oncotique qui s’oppose à la pression hydrostatique s’accroit (perte d’eau donc concentration de protéines augmente.)

Voir DIA comment augmenter la PTM

- en élevant le gradient de pression hydrostatique

- en augmentant le débit sanguin

...

Les capillaires doivent être suffisamment court pour avoir une convection efficace. Plus ultrafiltration augmente moins la diffusion est efficace.

Les membranes du dialyseur on deux propriété :

-Haute perméabilité hydraulique

-Capacité de tamisage (poid max des molécules qui traverse) coef de tamisage : concentration de soluté dans dialysat/ celui dans le plasma. Si le coef de tamisage =1 même quantité de molécules des deux cotés.

Type et constitution des membranes :

Cellulosique qui donnent des allergies en générale

.Et synthétique qui on moins de problèmes.

Tamissage :

Mb à faible flux K< 10mm/Torr/heure ne fait pas passer de grosses

Mb à haut flux molécules > 20mm/Torr/h fait passer grosses molécules

Mb faible flux sont beaucoup moins chere. On devrait utiliser surtout des membranes à haut flux.

Complications liées à l’hémodialyse :

-accès vasculaire

-bactéries

-Hypotension.

Paramètres clef : objectif de poids ou quantité de liquide à soustraire. Il faut avant de la dialyse il faut évaluer le volume liquidien du patient. On mesure toujours le poids du patient avant et après la dialyse pour avoir une idée de la quantité de liquide enlevé.

Type de la membrane utilisé, une surface mbR importante améliore par diffusion. Le choix des membrane est important. La durée de la dialyse ets aussi important.

Le type de solution de dialyse utilisé aussi est important

-sodium contrôle hypotension

-bicarbonate équilibre acide base

-potassium contrôle la kaliémie

-calcium contrôle la calcémie)

On injecte tjrs de l’héparine anticoagulant.

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